C’est vrai qu’avec une description comme celle-ci : ----------- La
machine ne remplacera jamais l’humain, comme le marteau n’a pas
remplacé la main. Reste que l’invention du marteau a mis au chômage tous
ceux qui auparavant enfonçaient les clous à mains nues. ----------- on est parfaitement renseigné sur ce que représente Deneb, MDR !
Je pense qu’il y a plus grave que ces déclarations d’une nunuche écervelée.
Je mets ici le contenu d’une interview qu’elle avait accordée au Daily Mail le 21 janvier 2008, c’est à dire 15 jours avant de se marier avec le jardinier : -------------- « Bien que j’habite en France depuis que j’ai cinq ans, je n’ai pas voté aux dernières élections présidentielles de mai car je me considère toujours italienne. (…) Je ne suis pas Française du tout, j’ai un passeport italien. (…) J’aime être Italienne : j’aime le tempérament et la nourriture italiens. Les Français sont toujours de mauvaise humeur, alors que les Italiens sont de bonne humeur. (…) Les Français sont toujours négatifs et ils sont dingues au sujet de leur langue ; à chaque fois que quelque chose n’est pas français, ça les rend fous. (…) A Londres, on ne sent pas la pollution parce qu’il y a plein de parcs. À Paris, j’habite en lisière de la ville parce que c’est le seul endroit où on trouve des espaces verts.(…) Vivre au centre de Paris, ce serait trop dur, vraiment insupportable. » --------------------
Comme cela on sait exactement pourquoi elle a épousé Sarko : elle a une maison entourée d’un grand parc au centre de Paris. Et comme Sarko, visiblement n’aime pas trop la France non plus, on peut dire que qui se ressemble s’assemble.
Bon, le problème de la maison, c’est que le bail arrive à échéance. Mais je ne doute pas qu’elle trouvera à rebondir.
Sarko consulte une voyante. La voyante très concentrée ferme les yeux et lui dit : « Je vous vois passer dans une grande avenue, dans une voiture, le toit ouvert, le peuple applaudit. La foule est heureuse, comme jamais. Des personnes courent après la voiture. Il y a tellement de monde que la police a du mal à se frayer un chemin. Les gens portent des drapeaux français, chantent et crient des mots d’espoir : »maintenant, tout ira mieux« . »
À ces mots, Sarko se gonfle de joie et demande à la voyante : « Et moi, comment je réagis à tout cela ? »
La voyante répond : « Je n’arrive pas à le voir, le cercueil est fermé. »