ensuite les nazis n’étaient pas des défenseurs de la famille traditionnelle et des traditionalistes mais des totalitaires anti-chrétiens adeptes d’un homme totalement nouveau, pour changer radicalement et remodeler radicalement la société afin qu’elle convienne à leur idéologie. c’est digne du marxisme et socialisme athées et darwiniens.
les nazis au lieu de foutre simplement les femmes au foyer et les filles à la maison avec la famille : elles étaient embrigadés à mort, l’Eglise et la mère n’éduquaient plus rien du tous à cause des jeunesses hitlériennes et des Lebensborn.
hitler a mis en place l’euthanasie et l’avortement vs les handicapés et races « inférieures ». les nazis encourageaient à violer et êtres infidèles en particulier les soldats nazis et ss (pour la natalité).
hitler et les nazis ont obligé 2.5 millions de femmes à travailler dans l’industrie et l’agriculture et disaient à la mère et famille comment éduquer ses enfants via des livres ou formations. hitler a ouvert l’armée aux femmes.
les gens étaient embrigadés dans des associations qui transmettaient des valeurs de vie de groupe en grand air ainsi que le sport (mode de vie aucunement traditionnel).
hitler voulait rétablir la polygamie après guerre.
les nazis encourageaient les femmes à faire des études secondaires et ouvraient des formations politiques des femmes.
le régime avait une orientation païenne et tous ses défilés et célébrations avaient un côté païen très prononcé.
services obligatoires (de travail et de guerre) pour les femmes, les nazis encourageaient les enfants à êtres rebelles vs leurs parents et à les dénoncer.
certaines encycliques du pape lues valaient des condamnations.
les nazis faisaient du nsdap et du fürher la famille de tous le monde (la famille avec les enfants et les parents étaient secondaires).
les nazis ont normalisé l’enfant illégitime et voulaient rendre normal l’inceste, le culte de la personnalité et de l’Etat qui remplacent le culte religieux et de Dieu (ça ressemble à ce qui est décrit dans apocalypse avec l’adoration de la bête), etc... voilà le fascisme n’a rien de conservateur et réac, son totalitarisme avec son fameux « homme nouveau » idéal n’a rien à voir avec le traditionalisme et le conservatisme.
avec hitler les prêtres et évêques devaient prêter serment au régime et êtres fidèles au régime, comme avec la constitution civile du clergé de 1790 c’est inadmissible pour un gros réac , hitler a autorisé le divorce en cas de manque de natalité, inadmissible aussi pour un conservateur.
aussi « Bien des esprits se sont laissés aussi fasciner par l’irrationalisme nazi, avec son culte néo-romantique de la nuit, du sang, de la nature, son goût des uniformes et des parades, ses rituels et ses cérémonies spectaculaires ressuscitant un univers médiéval ou païen, et par l’appel efficace aux héros mythiques du passé national »http://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Hitler et aussi « Ainsi, à partir de 1936, les femmes sont encouragées à conserver leur emploi. Même, leur part augmente. On compte 36 % de femmes salariées actives en 1933, et 53 % en 1944 » aussi « Il n’est pas possible de faire un raccourci mental avec les sociétés conservatrices et patriarcales qui prévalaient par exemple sous le Deuxième Empire : en effet, le caractère totalitaire du régime éloigne la conception faite des femmes d’une mise à l’écart de la société. Au contraire, celles-ci doivent y participer au premier plan en tenant le rôle de mère et d’épouse : Nathalie de Voghelae note que « le nazisme considère la femme comme la mère du peuple »82. Le fait que l’embrigadement des femmes (Bund Deutscher Mädel puis Frauenschaft) soit si organisé, ne permet pas de reléguer les femmes à ce qu’elles pouvaient être au xixe siècle. Sans doute, un électorat conservateur et une frange de la population très critique vis-à-vis de l’image de la femme émancipée des années 1920 trouvera dans le nouveau régime une certaine satisfaction. Mais les buts sont différents, et on demande à chaque femme de prendre part dans la construction du « Reich de 1000 ans ». La liberté féminine s’en trouve dès lors nécessairement réduite, et Heide Schlüpmann a dès lors raison de dire dans Frauen und Film, que les films de Leni Riefenstahl (la réalisatrice officielle du régime) « valorisent une telle négation de la sexualité féminine et ne proposent en fait aux femmes que l’image d’une autonomie trompeuse ». »
pts communs entre le nazisme et le socialisme, les gauchistes par malhonnêteté tentent de faire croire que dans « national-socialisme » le mot « socialisme » n’a aucune importance et qu’il faut retenir seulement le terme « national » du mot « national-socialisme ». mais bon je vais démontrer que le terme « socialisme » dans le « national-socialisme » a eu un très grand poids :
le nazisme avait des bases pseudo-scientifiques, cette idéologie se fondait sur de la « science » biologique, comme le marxisme (fondé sur la « science sociale »). et et cette idéologie était darwinienne pas créationniste comme l’extrême droite traditionnelle. hitler avait afait une politique très socialiste que ça vous plaise ou pas : il généralisera à toute la population l’assurance vieillesse (aux artisans et artistes en particulier), pour les accidents et celle pour la santé (réservé avant que pour les vieux et fonctionnaires) où il rendra l’accès aux soins illimité.
Hitler aussi aura augmenté de 15 % les pensions de retraite en pleine 2nd gm et multipliera les contraintes sur l’employeur pour licencier, sécurité de l’emploi assuré. Il créa les toutes premières allocs familiales allemandes, interdiction des exports de capitaux, fin quasi totale du commerce avec les autres pays, autarcie anti-libérale, avec en plus des crédits d’impôts pour les familles à enfants, ainsi que la congé maternité.
Hitler a aussi fait en sorte que le logement acheté par une famille avec un enfant : 25 % du logement payé par l’Etat, avec 2 enfants, c’est 50 % payé et avec 4, c’est 100 % payé.
Hitler étendra considérablement le système de protection social et finalisera l’Etat-providence allemand commencé par Bismarck. Il aura créé des dizaines de prestations différentes aux plus démunis, et fait des baisses d’impôts pour la classe moyenne et populaire. Hitler de plus ne pas oublier a fournit l’électricité gratuitement à toute la population et pris en charge par l’Etat l’assurance-automobile ainsi que les congés payés ( 2 semaines, le régime a ajouté une 3e semaine de congé payé plusieurs années après la création des congés payés).
Des millions de logements sociaux seront construits et pris en charge par l’État et parfois par les entreprises, il y a eu aussi la « voiture du peuple« ou »coccinelle » offerte par l’État aux plus démunis.
Le taux marginal de l’impôt sur le revenu passera même de 50 à 65 %, des tonnes d’autres taxes sur le capital apparaîtront. Celui sur les bénéfices des sociétés de 10 % à 45 %. Un plafond de 6 % de bénéfices des entreprises distribués en dividendes, sera imposé. Des cantines, repas chauds, la médecine, aménagements hygiéniques, des loisirs, etc... seront mis en place dans les lieux de travail. Les prix, les salaires, les circonstances de vente, les méthodes de production, les taux d’intérêt et les sources d’importation des entreprises étaient contrôlés et dirigés par l’Etat. 0 liberté d’entreprise.
lien montrant plus en détail le socialisme hitlérien (attention forum nazi mais il cite en entier un ouvrage détaillant le socialisme d’hitler) :http://ben.lp.free.fr/lesocialismee...
d’autres liens que je ne retrouve plus.
et le Larousse « Histoire du monde de 1918 à aujourd’hui
les gauchistes vous voyez enfin ce que ça fait d’être assimilé en permanence au fascisme et au nazisme, d’être mis dans le même sac, c’est pas plaisant mais nous on subit ça en permanence.
ah un truc le nsdap s’appellait « parti national-socialiste des travailleurs allemands ». le nsdap avec hitler se sont inspiré de mussolini issu du socialisme et du fascime italien à la base de gauche
le fascisme fr vient de la gauche ainsi que celui belge et anglais, comme le fascisme italien :
« »Fascisme belge
(...)
Voilà pourquoi ce courant de pensée peut concevoir la révolution nécessaire non plus comme une révolution sociale et économique mais comme une révolution psychologique, une révolution morale et spirituelle. Dans Corporatisme et socialisme (1934), de Man propose la mise sur pied d’un véritableÉtat corporatif. Ce n’est alors pas un hasard si en juin 1940, de Man, successeur d’Émile Vandervelde, mort en 1938, à la tête du socialisme belge, accueille avec bienveillance la victoire nazie comme une « délivrance » et comme la naissance d’un monde nouveau.«
»Fascisme français et britannique
Telle est aussi la voie empruntée par Marcel Déat, l’un des grands espoirs du socialisme français des années 1930.Dans son ouvrage majeur, Perspectives socialistes, tout comme dans les centaines d’articles que le député de Paris livre à La Vie socialiste, la revue de la droite de la SFIO, Déat théorise le corporatisme d’un État autoritaire d’où sont bannies les faiblesses de la démocratie libérale, notamment le parlementarisme. Déat et ses camarades lancent rapidement une campagne antimarxiste, dès 1930 : en 1933, ils font scission sur des slogans et un programme — « Ordre, autorité, nation » — qui associent l’autoritarisme politique au nationalisme et l’anti-individualisme à l’anti-marxisme.
Il y a encore une autre filière commune aux socialistes révisionnistes et à ces éléments de la gauche non marxiste ou antimarxiste, tels le travaillisme britannique ou le Parti radical français, qui cherchent eux aussi une réponse à la crise du capitalisme. Le brillant ministre britannique Oswald Mosleyet le jeune radical français Bertrand de Jouvenelconstatent ainsi l’échec du libéralisme politique des années 1930. Tous, participent de la volonté fasciste de briser le libéralisme bourgeois, le socialisme prolétarien et marxiste, les antagonismes de classes.
Mosley s’emploie ainsi à entraîner le Parti travailliste vers le national-socialisme. Membre du gouvernement McDonald de 1929, il constituera la British Union of Fascists. En mars 1931, il jette les bases d’une nouvelle formation politique, le New Party, qui évolue progressivement vers le fascisme.
La démarche de Jouvenel est plus mesurée : après le 6 février 1934, il rompt avec le Parti radical et lance un hebdomadaire, La Lutte des jeunes, et clame, avec Drieu La Rochelle, ou Jacques Doriot, leader du Parti populaire français (PPF), sa volonté d’ériger un système politique autoritaire, d’où sont éliminés les partis politiques et les groupes de pression. Jouvenel quitte le PPF à l’époque des accords de Munich : il s’en va en compagnie de tous les autres intellectuels fascistes, Drieu ou Paul Marion, communiste et ministre à Vichy. En 1941, dans un ouvrage intitulé Après la défaite, Jouvenel accueille le triomphe nazi comme une victoire de l’esprit.
Intéressant également est le cas de Pierre Biétry, ancien secrétaire général des Jeunesses communistes (JC) et qui porte l’uniforme nazi sur le front de l’Est. Député communiste depuis 1924, maire de Saint Denis, Doriot est candidat au poste de secrétaire général du PCF. Staline lui préfère Maurice Thorez. Des 8 membres du premier bureau politique du PPF formé en novembre 1936, 7 viennent de l’extrême gauche, 6 sont des anciens communistes.« . »
jena moulin était aussi un gaulliste de droite. origines du fascisme italien, ce lien nous montre que le fascisme italien à toutes ses racines à gauche et dans le socialisme : http://www.wikiberal.org/wiki/Fascisme « La synthèse se fait sur les mêmes bases qu’en France : d’une part, le refus de la démocratie et du libéralisme, des valeurs dites »bourgeoises« , d’autre part, le culte de l’héroïsme, du vitalisme. Robert Michels, figure de proue de l’aile gauche de la social-démocratie d’outre-Rhin, Allemand italianisé, sera un des tout premiers théoriciens du fascisme jusqu’à sa mort en [1935]. Il faut une élite capable de conduire les masses au combat. Michels apporte, avec dans une moindre mesure Pareto et Mosca, au fascisme la caution des jeunes sciences sociales.
Pendant les années de la première guerre mondiale, le syndicalisme révolutionnaire se développe en syndicalisme national. Ce syndicalisme nouveau n’est plus, comme le dit Panunzio, un syndicalisme révolutionnaire, négatif, partiel, ouvrier, mais un syndicalisme réunissant toutes les classes sociales. Tous les syndicalistes révolutionnaires ne seront pas fascites. Ernesto Cesare Longobardi adhérera au Parti communiste, Alceste De Ambris, rompra finalement avec Mussolini, et Labriola et Leone, après quelques années de collaboration, auront des positions très critiques envers le régime mussolinien.Mais tous les autres syndicalistes révolutionnaires importants, Michels, Panunzio, Olivetti, Lanzillo, Orano, Paolo Mantica, Michele Bianchi, Edmondo Rossoni, Cesare Rossi, Umberto Pasella, Tullio Masotti, Ottavio Dinale, seront fascistes militants et leur fidélité ne faillira pas.
Sans être syndicaliste révolutionnaire dans le sens strict du terme, Mussolini appartient à ce courant idéologique. Certes de 1910 à 1914, alors qu’il monte rapidement en grade — de leader socialiste provincial, il devient le chef de la gauche révolutionnaire du Parti socialiste et directeur d’Avanti —, Mussolini entre en conflit avec les socialistes révolutionnaires qui, eux, viennent de quitter le Parti. Mais Mussolini ne les attaque que sur des questions de tactique politique, non d’idéologie. Dès le début de son activité politique, Mussolini accepte les principes de base du syndicalisme révolutionnaire, et il suit son évolution en syndicalisme national, puis en fascisme. »