@Cheech je vais juste encore le ridiculiser une dernière fois, les gauchistes utilisent en permanence l’histoire comme arme en la réécrivant) pour attaquer les droitistes ( ce qui fait que le fn a 82 % de français vs lui en 2002).maintenant ils ragent car je retourne l’histoire (qu’ils manipulent) vs eux et parce que je rétablis la vérité historique noyé sous un flot de mensonges pour calomnier, diaboliser et insulter les droitistes et faire croire que la gauche c’est le bien.
« Celui qui contrôle le présent contrôle le passé. Celui qui contrôle le passé, contrôle le futur. »
George Orwell
les gauchistes ont appris cette leçon, les droitistes devraient l’apprendre aussi pour se défendre.
Chronologiquement, c’est toutefois la minorité protestante qui développe une attitude de résistance spirituelle inspirée par l’attitude de l’Église confessante allemande et par deux lettres du théologienKarl Barth qui circulent sous forme dacylographiée. Dès le 23 juin 1940, le pasteur André Trocméprononce devant ses paroissiens du Chambon-sur-Lignon son sermon dits des « armes de l’Esprit » qui contient le premier appel à la résistance prononcé sur le sol français27. La population du Chambon-sur-Lignon aura pendant toute la guerre un comportement de résistance non violente qui lui vaudra la médaille des justes de Yad Vashem en raison du nombre important de juifs qui seront cachés et protégés par le village et ses environs. Le protestantisme fournira donc son contingent de héros à la Résistance classique (Jean Cavaillès, Berty Albrecht, Lucie Aubrac, ...) mais aussi son expression non-violente et spirituelle (André Trocmé, Roland de Pury, Madeleine Barot,...) Premières manifestations publiques de solidarité des chrétiens français envers les Juifs, les lettres du président de la Fédération protestante de FranceMarc Boegner des 26 mars 1941 et 20 juin 1942 ont un très fort retentissement dans le pays.
Côté catholique, des résistants comme Honoré d’Estienne d’Orves et certaines mouvances de la Résistance sont motivés par leur fort ancrage religieux, comme Liberté, fondée par François de Menthonqui sera l’une des composantes du mouvement Combat, lesCahiers du Témoignage chrétienfondés par le père Pierre Chaillet ou les Jeunes chrétiens combattants, fondés par Gilbert Dru (1920-1944) et Maurice-René Simonnet. Ces militants considèrent que leur foi chrétienne leur impose d’agir aux côtés de la Résistance28. Cette conscience amène à condamner les abus et vengeances personnelles perpétrés sous couvert de résistance : dans une déclaration du 17 février 1944 les évêques de France condamnent officiellement « les appels à la violence et les actes de terrorisme qui provoquent l’assassinat des personnes et le pillage des demeures »29.
De nombreux prêtres et religieux s’engagèrent dans des actions de résistance (et particulièrement dans l’accueil et le sauvetage des évadés, des juifs, des aviateurs alliés ou des réfractaires).Beaucoup le payèrent de la déportation, voire de leur vie (comme le père jésuite Yves de Montcheuil, l’abbé Derry, les pères franciscains Corentin Cloarec ou Robert Desmoutier, ou encore le père capucin Augustin Meyer et les cinq Oblats de La Brosse-Montceaux)30. »
Jean-Pierre Azéma a forgé le terme vichysto-résistant pour qualifier ceux qui, après avoir cru dans le régime de Vichy (plus souvent dans la personne même de Pétain que dans la Révolution nationale), s’en sont détachés « sans esprit de retour » et ont rejoint la Résistance. Cette catégorie ne recouvre pas exactement la droite dure et l’extrême droite. L’ancien cagoulardClaude Hettier de Boislambertrejoint de Gaulle dès l’été 1940, Maurice Ripoche(fondateur de Ceux de la Libération) défend, initialement, un régime très semblable à Vichy, mais, plaçant la libération du territoire au-dessus de tout, n’entre pas dans l’administration pétainiste, et ouvre dès 1941 le mouvement à des hommes de gauche. À l’inverse, tous les résistants passés par Vichy (...) comme Gabriel Jeantet ou Jacques Le Roy Ladurie.
Les vichysto-résistants rejoignent la lutte contre l’occupant :
Dès 1940/41 pour Pierre de Bénouville et Henri Frenay, et rompent ensuite, à partir de 1942 notamment, avec les principes de Vichy.
Après le retour de Pierre Laval au pouvoir, en avril1942, ou l’invasion de la zone libre, en novembre de la même année, comme les fondateurs de l’ORA ou François Mitterrand.
@Dom66 tu es inculte à assimiler le fascisme à la droite, le fascisme est une idéologie d’extrême gauche à la base, mussolini est un socialiste révolutionnaire à la base et tous les collabos à 90 % étaient de gauche. même ta milice était de gauche : « Le chef officiel de la Milice était Pierre Laval(vient de la sfio, candidat du cartel des gauches et ministre du cartel des gauches), chef du gouvernement, mais le véritable responsable de ses opérations était son secrétaire général, »
« Pierre Laval, en accord avec le maréchal Pétain, décida de créer, par la loi du 30 janvier 1943, la Milice qui absorba l’ancien Service d’ordre légionnaire. Il en devint le chef nominal, avec Joseph Darnand comme secrétaire général qui en sera cependant le véritable chef opérationnel. »