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annaba philippe

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  • Premier article le 27/03/2019
  • Modérateur depuis le 29/08/2023
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Derniers commentaires



  • annaba philippe annaba philippe 21 janvier 19:33

    @Samy Levrai
    Ce ne sont pas les dieux grecs qui ont écrit la mythologie grecque, mais des hommes témoins d’évènements qu’ils comprenaient mal. De même pour la mythologie sumérienne. Ce sont ces hommes qui ont cru la Terre plate, avant la grande navigation qui leur a fait comprendre que la mer était courbe puisque les terres et les autre bateaux disparaissait à l’horizon, mais pas la lune ni les étoiles etc. Mais les mythologies sont aussi des outils pour tenter de comprendre le passé.
    Par exemple Robert Graves : Mythologie grecque. Et Jean Bottéro : « L’Epopée de Gilgamesh » et « L’écriture, la raison et les dieux », entre autres. Annaba



  • annaba philippe annaba philippe 16 janvier 19:36

    @Astrolabe
    Les « nouveaux outils » dans l’histoire n’ont jamais été neutres. La lance pour tuer des animaux et se nourrir a fini par tuer les hommes du clan voisin. Ils procurent autan de bienfaits que de méfaits : « Celui qui a inventé le bateau a inventé le naufrage » Lao-Tseu, cinq siècles av. J.C -. Aujourd’hui nous tentons de réparer les méfaits de notre « science sans conscience » avec des outils aussi dangereux, et nécessitant des ressources naturelles en voie d’épuisement, qu’utiles. l’histoire de l’humanité montre qu’elle est une incohérence au sein due l’ensemble du monde vivant, en raison de sa puissance et de sa démesure. Annaba.



  • annaba philippe annaba philippe 16 janvier 19:27

    @lecoindubonsens
    Si nous ne sommes que des animaux manipulés génétiquement et dénaturés en esclaves, devenus capables d’en faire autant, génétiquement et techniquement, sans réflexion sur les conséquences, comme nous le voyons aujourd’hui, il est impératif de bien réfléchir avant de mettre d’autres innocents au sein d’une humanité qui va inéluctablement dans le mur, quelque soient les bonnes intentions. Annaba.



  • annaba philippe annaba philippe 9 février 2024 19:38

    @SilentArrow
    C’est bien là la question fondamentale de la philosophie, et qui est taboue.
    La réponse ne peut-être que soit dans la mythologie biblique soit dans la mythologie sumérienne. Sinon, un mystère, une modification génétique de cette ampleur, par rapport à tout le reste du vivant, ne semble pas concevable.
    En fait, comme les sceptiques grecs, nous ne pouvons que « suspendre notre jugement ». Philippe.annaba.free.fr



  • annaba philippe annaba philippe 5 janvier 2024 12:43

    @Francis, agnotologue

    Ce que signifie la conclusion :

    « L’enfer n’existe pas pour les animaux, ils y sont déjà » Victor Hugo, Les contemplations.

    « Le monde est bien l’enfer, et les hommes sont d’un côté les damnés et de l’autre les diables » Arthur Schopenhauer, L’art de vieillir.

    Et pour accepter d’y mettre un enfant au monde, quel aveuglement, quel manque de jugement, quelle preuve de la force, à la fois de l’instinct de vie et de l’endoctrinement social. Tout le contraire du libre-arbitre !

    Un animal, jamais ne peut être tenu responsable de quoi que ce soit. Seul le prétendu « homo sapiens » a pour premier devoir la responsabilité de ses actes.

    Et la première de ses responsabilités est dans la décision de mettre ou non un enfant au monde.

    « Aucun animal ne torture uniquement pour torturer ; mais l’homme le fait, et ceci constitue son caractère diabolique, infiniment pire que le caractère bestial » Arthur Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation.

    Seul dans le monde vivant à percevoir dans quel cadre de douleurs s’exécute la vie, l’homo sapiens devrait comprendre qu’il est le seul, doté du privilège d’y renoncer ou d’y consentir profondément, en toute conscience et responsabilité. C’est justement là que se situe, en fait, sa seule possibilité d’exercer son libre-arbitre. Il faut donc se libérer déjà de ce qui cause la souffrance, à savoir, donner la vie sans la conscience aigüe de notre responsabilité incontournable, par-delà les générations et donc les siècles !

    Ph. Annaba, auteur de « Pourquoi mettre au monde dans un monde qui se fout du monde ».


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