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Argo

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Travailler plus pour gagner plus ? La forme même des pyramides d'Egypte, nous enseigne que les ouvriers, et ce dès la plus haute antiquité, avaient développé une tendance naturelle à en faire de moins en moins.

Tableau de bord

  • Premier article le 20/03/2007
  • Modérateur depuis le 12/04/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Argo Argo 12 juin 2007 14:47

    90% ? En aucun cas.

    Pour faire simple, en matière d’aide à côté des états on a 3 types d’organismes :

    a) les organismes spécialisés de l’ONU (HCR, PAM, UNICEF, etc.) ;

    b) le CICR (et les autres branches de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge international) ;

    c) les ONG (les grandes, les petites) indépendantes ou politiquement voire religieusement marquées.

    C’est vrai que dans les ONG, Il y a deux sortes, les « vraies » et celles qui ne sont que le bras armé des groupes de pouvoir (spécialement aux USA), gouvernements et/ou multinationales. Ces dernières reçoivent leur financement des États et des institutions comme la Banque Mondiale, la Banque Interaméricaine de Développement et de fondations comme Ford ou d’autres. Il s’agit alors de politique et de business plus que d’aide.

    Mais la plupart des grandes ONG ont un financement très majoritairement privé, reposant sur la générosité (eh oui ça existe) de leurs donateurs. Elles consacrent des sommes importantes à leur marketing. Pour citer 3 des plus grandes ONG, OXFAM (la grande ONG britannique), MSF et MDM ont un financement presque exclusivement privé.

    Vous devez confondre avec les programmes d’aide cofinancés par les états et les ONG. En aucun cas on ne peut dire que les ONG (organisation non gouvernementale) sont financées à 90% par les états. Et puis, il ne tient qu’à nous d’augmenter la part privé du financement des ONG, simplement par nos dons (je me permets de vous y inviter).



  • Argo Argo 6 juin 2007 16:26

    Je reconnais les avantages du « végétarisme » comme indiqué dans mon post plus haut.

    Mais il ne s’agit pas d’opposer les solutions, qui plus est en se les jetant à la face, comme vous le faites vis à vis de ceux qui prônent (à juste titre également) un meilleur contrôle démographique.

    Après tout nous sommes tous conscients du problème ici. Pourquoi s’opposer sur les solutions ? Elles sont probablement complémentaires ?

    Moi, je ne milite que pour la prise de conscience. En matière de vérité absolue ou d’arme fatale (et exclusive de toute autre), je ne m’aventure pas, faute de connaissances suffisantes (les livres cités sont là pour cela).



  • Argo Argo 6 juin 2007 16:14

    Les animaux consomment effectivement davantage de calories qu’ils n’en produisent. Les calories animales (viande/lait) exigent plus de terres et d’eau que les calories végétales (céréales/légumineuses). Par exemple, un kilo de blé requiert en moyenne 1 100 litres d’eau, un kilo de bœuf 13 500 (fourchette basse pour les deux estimations).

    Ceci pose un autre problème (connexe), celui de la modification de nos habitudes alimentaires.

    Pour prendre un autre exemple : En 1950, les Français consommaient annuellement 44 kilos de viande, 10 de poisson et 5 de fromage contre respectivement 85, 25 et 18 aujourd’hui. Et ils compensaient cela en mangeant davantage de pain (121 kilos contre 60) et de pommes de terre (153 contre 65).

    Faut-il revenir en arrière ? Pour le sujet qui nous préoccupe, ce serait plutôt positif mais il y a d’autres aspects à prendre en compte et je ne suis pas nutritionniste. Vaste débat, là aussi.



  • Argo Argo 6 juin 2007 11:30

    Par nature, sur AgoraVox, contrairement à d’autres médias, l’article est indissociable des commentaires.

    C’est bien l’ensemble, l’alchimie entre l’exposé du rédacteur et le débat qui s’en suit, dont il faudrait apprécier la contribution, l’originalité ou la « valeur ».

    Certains billets peuvent se passer de commentaires ; ils sont brillants et apportent une information originale, un éclairage inédit. D’autres sont plutôt des catalyseurs et valent plus par l’intérêt du débat ou de la polémique qu’ils déclenchent, que par l’originalité du sujet ou la profondeur de l’analyse.

    La preuve ? Cet article. Merci à la taverne.



  • Argo Argo 5 juin 2007 15:06

    Sympa ces stats. Je ne suis pas sûr que les notes soient très significatives. Pour l’être, cela supposerait l’existence d’une grille d’analyse, une certaine « uniformité » des sensibilités littéraires pour ne pas dire politiques.

    Je pense qu’au contraire c’est la pluralité des opinions, des styles, des tons, des âges, des origines sociales, des centres d’intérêts qui font et feront la richesse d’Avox, côté lecteur et côté redacteur. Pour moi la clé c’est l’absence de formatage, la liberté.

    Je trouve que quelqu’un devrait également noter les commentateurs assidus, les constructifs, consensuels, plaisantins, les provocateurs... Oui mais surtout les anonymes exhaltés, concentrés de bile, rebelles contre tout et son contraire, enfiévrés, haineux à bosses, vitrioliques à pleines lignes, redresseurs de tous nos clous, sournois marchands de leurs soupes tièdes, chafoins chercheurs d’anguilles sous toutes roches, hallucinés des causes essentielles, suppositoires à fond de marécages, agités browniens du complot mondial, dépeceurs à vif de la veuve et de l’orphelin, récidivistes et sodomorphes à pleins tubes, et j’en passe... Avec morceaux choisis à l’appui, quolibets, fôtes d’ortografe, étripages en ligne, injures et sarabandes... Une belle étude sociologique en perspective. et certainement bien savoureuse.

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