Encore un marronnier lancé pour masquer l’impuissance de l’exécutif. Cela fait maintenant 40 ans que ce sujet revient sur le tapis et à chaque fois le lobby des fonctionnaires des impôts le torpille ou pire, s’il faisaient mine de l’appliquer, on aboutirait à une usine à gaz telle que cela nécessiterait un triplement des effectifs.
Quant à la confidentialité des infos par rapport à l’employeur et à la déresponsabilisation des contribuables, tout cela est faux : parmi tous les pays qui appliquent ce principe, je citerais le cas de l’Angleterre où travaille mon fils : l’employeur ne fait qu’appliquer un coefficient transmis par l’administration (entre employés, les salaires se comparent en brut) et les citoyens et la presse sont extrêmement chatouilleux sur l’utilisation du « tax payer money » (argent du contribuable), ce qui est loin d’être le cas chez nous : millefeuille administratif, dérapages hauts fonctionnaires et cumuls divers.
@Jean J. MOUROT Vous avez raison, l’histoire scolaire est à l’histoire ce que la musique militaire est à la musique.
Cette matière passionnante devrait être sortie des programmes d’examens, le programme interprété selon la population de la classe en demandant du travail personnel aux élèves et restitution en classe par équipes.
Modèle : film « les héritiers » où un groupe d’élèves de seconde médiocre retrouve le plaisir d’apprendre.
Personnellement après avoir subi la « grandeur » du règne de Louis XIV en classe, j’ai découvert que c’était la pire époque pour mes ancêtres paysans (écrasés d’impôts) et protestants (St Barthélemy permanente).
L’urgence reste quand même d’apprendre à lire, écrire et compter aux 20% de gamins exclus et s’il faut pour cela recycler profs d’histoire, de philo ou de techno en instituteurs, je suis tout à fait d’accord.
Une petite précision, si Milliband et Clegg ont démissionné de la tête de leurs partis respectifs ils n’ont pas démissionné de leurs postes de députés. Néanmoins, leur carrière de dirigeant politique est treminée.
Ceci dit, un point sur lequel la société britannique est intransigeante, c’est sur la moralité de ses élus, en particulier sur l’utilisation frauduleuse de l’argent public (en anglais, « taxpayer’s money » : « argent du contribuable » et non pas comme en France l« argent de l’état »), l’élu pris la main dans le sac devient de fait inéligible à vie, quelque soit sa condamnation pénale.
Ex : Mandelson soupçonné d’avoir bénéficié d’un prêt bancaire avantageux, ou Chris Hunhe :
Transposé en France, Jupé ou Emmanuelli (mais pas qu’eux), même si la justice les a déclaré rééligibles n’auraient jamais le culot de solliciter à nouveau un poste d’élu ; l’opinion publique et la presse faisant barrage.
L’utilisation de poison pour la culture de la vigne n’est pas une fatalité.
La fille de mon cousin Brard Blanchard ne fait de procès à personne mais prend avec bonheur la suite de son père pour l’exploitation viticole près de Cognac.
Il y a plus de 40 ans que Jacky a senti qu’en utilisant les méthodes chimiques préconisées à l’époque, il allait y laisser sa peau ; Soit il changeait de méthode, soit il changeait de métier. Il s’est renseigné à droite et à gauche et après des années de galère, il a réussi à fabriquer des produits de qualité tout en préservant sa santé.
Voilà son site où il raconte son histoire et où il propose ses produits (le pineau rouge, un régal !) :
L’utilisation des poisons dans la culture de la vigne n’est pas une fatalité.
La fille de mon cousin Brad.Blanchard ne fait pas de procès à qui que ce soit, mais a pris la suite de son père dans l’exploitation viticole près de Cognac avec grand bonheur.
En effet, Jacky a très tôt senti que l’utilisation des produits chimiques était néfaste à sa santé et qu’il lui fallait soit trouver d’autres solutions, soit quitter l’exploitation familiale. Après pas mal d’années de galère, le succès est venu et il profite maintenant de ses vieux jours.
Voir son site où il raconte son histoire et où vous pourrez commander son pineau qui vaut vraiment le détour :