arnulf

Et oui Marianne, certain aimerait n’avoir à soutenir que des gens sans défaut. Mais ces gens n’existent pas. Même moi j’ai des défauts, c’est vous dire ! Et vous ?
Michel Onfray est un homme que j’apprécie vraiment beaucoup mais imaginons que nous tous les gens de gauche épris de pureté et de transparence nous refusions d’appuyer un candidat autre que pur. La droite ne quitterait jamais le pouvoir. La vie est faite de compromis moi et ma femme, moi et mon chef (qui est un con oulala terrible !), moi et les voisins etc.. JLM n,’est pas parfait mais il me semble, après avoir longtemps hésité, qu’il n’est pas si mal que cela. Qu’aurait voulu Onfray un type super sympathique, franc et pur comme l’or ? Souvenez vous des premiers interviews. La haine qui était dans chaque affirmation - archaïsme, manque de réflexion, chauvinisme, manipulation par les communistes, etc..- mais le pauvre aurait été mangé tout cru !!
Malgré tout le bien que je pense de M. Onfray je soutiendrai, les yeux ouverts, JLM.
Parce que contrairement à ce que vous affirmez il propose (nous proposons ) la méthode qui nous permettra de sortir de la crise et qu’il propose la méthode pour créer de vrais emplois (pour les connaitre allez sur son blog : tout y est !).
Allez bonne nuit.

Ils ne risquent rien ? Mais si, même si pour l’instant il ne s’est rien passé.
Allez voir :

http://fr.sott.net/articles/show/4543-La-decret-du-1er-juillet-2011-autorise-la-police-a-tirer-a-balles-reelles-sur-des-manifestants

Je suis certainement archaïque mais je préfère penser à la grandeur qu’ être un consommateur shooté à la pub.
Consommez, consommez, il n’en restera rien sauf peut-être une Terre détruite.
Chacun ses choix. Nous les lumières, vous Ikea.

Bonjour Ariane !!
Je suis bien d’accord avec vous.
Un détail : j’ai trouvé que JLM avait un visage très sérieux, très grave quand il est arrivé. Je crois qu’il avait alors pris l’exacte mesure de l’extraordinaire réussite de cette marche et de la tâche à laquelle il s’est voué. Il a compris qu’il est réellement sur le point d’entrer dans l’histoire à l’égal de nos plus grands hommes.
Nous sommes avec lui. Nous le porterons, le pousserons, le soutiendrons chacun à notre place comme nous le pourrons et du mieux que nous pourrons. Nous ne le laisserons jamais seul. Les jeunes à vous de jouer !
Les bâtons dans les roues ne manqueront pas, les croche-pieds, les coups foireux et les rumeurs, les mesquineries et toutes les saloperies invérifiables que pourront glisser les journaleux qui déjeunent au Siècle avec le gratin du CAC 40.
Le ravi du CAC, Christophe Barbier avait pondu ( il a l’esprit près de l’orifice idoine) un article pour expliquer comment se débarrasser de JLM. 
Direct aux latrines de l’histoire journaleuse.
Et les autres quel plaisir de les regarder !! Ils ont du souffrir d’aigreurs.
Bon ben c’est pas tout ça, y a du travail !! Alors tous dès demain prenons une bonne résolution : nous discuterons avec au moins une personne par jour pour la convaincre. Si on peut discuter avec deux ce ne sera pas un mal mais attention il ne faut pas bâcler l’explication.
Je ne suis d’aucun parti mais je le ferai.
Allez souhaitons-nous courage et courage à JLM !!

Bien d’accord avec le commentaire de BOBW. Je ne suis pas non plus un inconditionnel de JLM. Des aspects me gênent : dictature de Cuba, Islam, Chavez qui voulait accueillir Kadhafi.
Mais je voterai pour lui ou plutôt pour les idées qu’il a aidé magistralement à faire réapparaitre. Je crois, moi aussi, que ce qu’il a réussi à créer est certainement plus grand que le bonhomme et je crois qu’il n’y serait pas parvenu s’il avait été un sympathique perdreau de l’année bien naïf et franc comme l’or. Il aurait été pulvérisé ! Je me souviens des premiers interviews où les journalistes étaient quasiment insultants - archaïque, ringard, dépassé, à la remorque des communistes, etc.. Alors oui c’est certainement un homme qui a des côtés sombres et peut-être même gênants mais « à c’t’heure » j’en vois pas de meilleur dans ce rôle de rassembleur et de promoteur d’une nouvelle politique.
Je suis certain qu’il l’a très bien compris car hier quand je l’ai vu, il ne souriait pas. Il était grave et je crois que le poids de l’instant et des tâches à venir c’est fait durement sentir sur ses épaules.
Il a la stature pour réagir et avancer, pour ne pas décevoir les espoirs qui sont mis dans cette nouvelle politique. Il peut laisser son nom dans l’histoire de France à égalité avec les plus grands de nos hommes car cette politique est révolutionnaire. Le fera-t-il ? Peut-être. Je l’espère et le croit. Il s’est hissé jusque là en refusant les petits calculs qui révulsent le peuple. J’espère et je crois qu’il n’y retournera pas.