Vous oubliez également de mentionner le fait que le prix des ordinateurs ou des appareils photo numériques sont également pris en compte pour le calcul de l’indice des prix : Bein oui, quoi ? Tout le monde achète très régulièrement un nouveau pc et un nouvel APN.
N’ayant pas peur de dévoiler mon idiotie patente, j’ose tout de même avancer avoir compris ce que bon placement et mauvais placements signifient pour l’auteur :
- un bon placement est celui qui rapporte
- un mauvais placement est celui qui ne rapporte pas, ou fait perdre de l’argent.
En clair, le sujet de l’article n’est pas discuter de l’opportunité de tel ou tel placement, ni de savoir s’il sera bon ou mauvais.
Aujourd’hui, il semblerait qu’en France il existe quelques sujets sur lesquels il est plus ou moins "interdit" d’émettre quelque opinion que ce soit.
Avec certitude, on peut dire que parmi les sujets tabous, se trouvent ceux-ci :
- les africains
- les juifs
- les "arabes"
Toute opinion et tout propos qui soit autre qu’angélique à l’égard de ces trois peuples, provoque une grave suspicion de racisme, d’antisémitisme ou d’islamophobie.
Il semblerait que désormais le 11 septembre 2001 fasse désormais partie des sujets tabous.
Nonobstant, il n’est pas interdit - Dieu soit loué - de "dire du mal" :
- des russes (les vilains soviétiques)
- des chinois (aussi vilains que les précédents)
- des sud-américains
Liste non-exhaustive, évidemment.
Je le reconnais volontiers, ma remarque est simplifiée à l’extrême et donc sans doute caricaturale, mais je pose la question : pourquoi est-il politiquement correct d’émettre des critiques stricto sensu sur certains sujets, et pourquoi ne l’est-ce pas sur d’autres ? (La réponse est dans la question ?)
Quel est le critère objectif et rationnel qui justifie un traitement plutôt qu’un autre ?