« Et s’il vous-plaît, expliquez-moi, je suis bête, mais : en quoi ce putain de 11 septembre est-il « sophistiqué » ? En quoi ? Qu’est-ce qui vous permet de dire que « seul un état pouvait être derrière ces attaques » ? »
« Les explications officielles relayées par les médias sont une fable, un conte de fées auquel on nous demande de croire, au mépris de toute autre considération, lois de la physique et même simple bon sens. »
Cet article de synthèse sur l’imbroglio et l’amalgame « Ben Laden/11-Septembre » (ses causes, ses effets et ses conséquences) est remarquable d’analyse et d’objectivité et en devient par là-même un outil de référence.
Merci pour cet éclairage tendant à révéler la vérité en faisant le tour de la question tout en adoptant une position d’une relative neutralité (attitude fort rare en ces temps d’extrémismes).
« Doit-on comprendre que vous souteniez Ben Laden et les actions qu’il encourageait ? »
Bien sûr que non, mais le comportement des États-Unis est celui d’un pays terroriste !
Sans parler de ce qui vient de se passer au Pakistan et de la suite donnée au 11-Septembre :
« Dans les années 1980, les États-Unis ont attaqué le Nicaragua. Il y a eu des dizaines de milliers de morts. Le pays a été presque entièrement détruit, il ne s’en relèvera peut-être jamais. Cet attentat terroriste international s’est accompagné d’une guerre économique dévastatrice, qu’un petit pays, isolé par une superpuissance vindicative et cruelle, pouvait difficilement supporter, comme l’ont montré en détail les grands historiens du Nicaragua, dont Thomas Walker. Mais les Nicaraguayens n’ont pas répliqué en lançant des bombes sur Washington. Ils sont allés devant la Cour internationale de justice, qui a statué en leur faveur, ordonnant aux États-Unis de cesser leur action et de payer des réparations importantes. Les États-Unis ont rejeté la décision du tribunal avec mépris et ont aussitôt intensifié leurs attaques. Le Nicaragua est donc allé devant le Conseil de sécurité de l’ONU, qui a alors proposé une résolution appelant les États à respecter le droit international. Les États-Unis ont été les seuls à y opposer leur veto. »