Il y a quelques temps, j’en ai eu marre
d’avoir peur. J’avais le sentiment qu’une bonne partie de mes
décisions, opinions etc.... étaient guidées par la peur.
Peur du regard des autres, peur de
Lepen, peur de l’Islam, peur de l’intelligence artificielle, peur de
l’avenir incertain de l’UE etc...
Comme a dit le Pape Jean-Paul II,
« n’avez pas peur ».
Foutre la trouille au bon peuple, ça
marche toujours.
Macron élu parce que peur de Lepen,
dés qu’on émet l’hypothèse de sortie de l’Euro « ça va
être horrible,on va perdre toutes nos économies » etc....
L’appel à plus de sécurité est du
même tonneau.
Je vais être vulgaire, mais la
sécurité (routière, antiterroriste, alimentaire, etc.. à vous de
compléter) c’est la vaseline pour......que ça passe mieux.
Lorsqu’on dit aux gens, c’est pour
votre sécurité, ils sourient bêtement et répondent invariablement
« haaa si c’est pour nôtre sécurité, c’est bien »
j’ai envie de leur dire, « réfléchissez
un peu, ça se termine toujours pareil cet appel à la sécurité,
soit restriction des libertés, soit tu payes, et même les deux. »
exemple : lutte antiterroriste
donc moins de libertés, nouvelles normes de « sécurité »
pour les ascenseurs (et hop plusieurs milliers d’€ de charges en
plus pour appliquer ces normes) et là aussi tout le monde peu
compléter via des exemples dans sa vie professionnelle ou privé.
Les
états au sein de l’Union Européenne ne sont pas souverains, donc
pas de démocratie, exemple :
Le
non respects du choix des peuples semble être une règle dans l’UE
Référendum
sur la constitution Européenne 2005 en France, réponses des
Français NON, mais finalement ratifiés par les parlementaires
Référendum
sur la constitution Européenne 2005 aux Pays Bas. Réponse des
Néerlandais NON, mais finalement ratifié par les parlementaires.
2008
en Irlande, réponse des Irlandais NON, on les fait revoter jusqu’à
qu’ils disent Oui 2009.
2016
au Pays bas, référendum sur l’accord d’association entre l’Union
européenne et l’Ukraine, résultat NON, mais finalement ratifié par
les parlementaires.
Seule
exception la Grande-Bretagne, qui résiste seule à cette grande idée
d’une Grande Europe sans frontière. (tient cela me rappelle quelque
chose)
Le
17 juillet dernier, à l’occasion de la Conférence des
territoires devant le Sénat, Emmanuel Macron s’était engagé
à ne pas baisser brutalement les dotations des collectivités
territoriales pour l’exercice 2018. Quelques
jours plus tard, les élu(e)s découvrent un décret (n°
2017-1182) daté du 20 juillet, ordonnant l’annulation à
hauteur de près de 300 millions d’euros des dotations en crédits
de paiement de l’État destinées aux collectivités territoriales
pour l’exercice 2017.
Pourtant,
Mr Asselineau, lors de son intervention devant l’association des
maires de France, avait informé ceux-ci des futures coupes
budgétaires qu’ils allaient subir,