Tout d’abord, mon propos n’était pas de prouver quoi que ce soit mais de montrer comment les religions ont utilisé la symbolique du genre.
Ensuite, la dualité est une représentation de la réalité et en tant que telle elle n’est pas la réalité. Le
mythe
n’est pas le Mystère. J’ai aussi parlé de la représentation du monde par les 4 éléments qui introduit de la dualité dans la dualité.
On peut tout aussi bien prendre une représentation à trois, quatre, cinq, six ou sept terme. Et cela sans oublier l’enseignement non-dualiste ou apophatique.
Désigner son propre sang comme un sang impur est une manière de s’opposer à cette théorie de sang pur/impur.
Donc en fait la phrase : « Qu’un sang impur abreuve nos sillons » signifie : Que notre sang (soit disant impur) abreuve nos sillons.
Dans ce vers, les révolutionnaire exprimaient leur résolutions allant jusqu’à leur propre sacrifice.
On retrouve cette idée dans le dernier couplet de la Marseillaise traditionnellement appelé le couplet des enfants :
« Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n’y seront plus, nous y trouverons leurs poussières et la trace de leurs vertus, bien moins jaloux de leur survivre que de PARTAGER LEUR CERCUEIL, nous aurons le SUBLIME ORGEUIL, de les venger OU DE LES SUIVRE !