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Bertrand

Passionné par l’actualité et la confrontation des points de vue. Allergique à la pensée unique. Laïque, dans le respect de toutes les croyances.

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Derniers commentaires



  • Bertrand 16 septembre 2008 12:12

    Si j’ai réagi de cette manière à l’article, c’est parce qu’il épouse parfaitement l’air du temps en matière de "démocratisation" de l’accès à la culture, et que sans vigilance, cette pseudo-démocratisation mène inévitablement à une baisse du niveau culturel général. Bien entendu, comme un commentaire le souligne, tous les pays qui ont fait des réfomes dans ce sens n’ont pas forcément rendu leurs enfants plus bêtes, et il est bon de savoir évoluer. Ceci dit, nous pouvons prendre à l’inverse l’exemple chinois dans lequel l’écriture a finalement été préservée, malgré certaines tentatives de la simplifier qui voulaient utiliser une représentation plus phonétique, sur la base de caractères latins. Les enfants chinois apprennent environ 2000 caractères (idéogrammes) en très peu d’années, et l’étymologie des caractères a été préservée. Cela a pu s’effectuer tout en élargissant considérablement l’accès à l’éducation, et en conservant la profondeur historique de l’écriture. Par ailleurs, je persiste à penser qu’il n’y a jamais de fin à la simplification : tant qu’on n’est pas parvenu à une représentation phonétique, on trouvera toujours des exemples montrant que les règles sont absurdes. Je ne connais pas par ailleurs d’exemple chiffré - y compris dans d’autres pays - montrant qu’une simplification a pu aboutir à un meilleur accès à l’écriture, malgré l’argument faussement évident que "pendant qu’on apprend certaines règles orthographiques absurdes, on n’apprend pas autre chose". Ces règles structurent l’expression écrite qui est un des "véhicules de la pensée", comme le dit joliment l’un des commentaires.



  • Bertrand 15 septembre 2008 12:26

    Je suis frappé par l’évidence avec laquelle vous assénez que la maîtrise de l’orthographe actuelle par un nombre trop limité de personnes montre que ces dernières veulent conserver le "pouvoir". En conséquence, il paraît évident qu’il faudrait simplifier l’orthographe. C’est cette logique qui a amené à baisser considérablement le niveau du bac pour le rendre accessible : on a donné l’impression (fausse) aux personnes de milieu socio-économique plus défavorisé qu’elles avaient un meilleur accès à l’éducation, et ce faisant, on a baissé le niveau général.
    Si on suit votre logique, il suffirait de supprimer toute difficulté orthographique et - pourquoi pas - écrire phonétiquement pour amoindrir le pouvoir de ceux qui savent (en supposant que cela soit souhaitable d’ailleurs) pour répartir ce pouvoir vers d’autres qui ont moins d’accès à la culture. Sans remettre en cause les exemples que vous prenez (qui permettent au moins de sourire pour les plus caricaturaux d’entre eux), il ne faudrait pas oublier une vérité fondamentale de l’écriture : l’orthographe est avant tout porteur de sens, d’histoire et de culture. On ne pourra y toucher sans s’attaquer à ces effets collatéraux, autrement plus inquiétants que la maîtrise du pouvoir par ceux qui maîtrisent l’orthographe : il est vrai que le pouvoir est plus accessible à ceux qui ont accès à la culture. Si on veut y remédier, c’est par l’élévation générale du niveau culturel qu’il faut y parvenir. Mais cela a un coût, bien plus important que de décréter simplement une simplification. En l’absence de courage politique, on fait la part belle à la démagogie que vous relayez (fort bien d’ailleurs).



  • Bertrand 18 décembre 2007 15:28

    L’article est très pédagogique et passionnant. Je n’ai pas compris si finalement il était plus intéressant de s’adonner au keynésianisme (les pays asiatiques qui l’ont fait ont été protégés de la crise), ou pas (le cas de la France fait douter de sa pertinence) ? Cela est-il utile dans certains cas ? Pourquoi certains états peuvent-ils se le permettre et pas d’autres ?

    On attend la suite avec impatience !



  • Bertrand 18 décembre 2007 15:22

    Après avoir lu en détail l’article et les commentaires associés, je me dis que c’est dommage : on sent que la réflexion de fond sur les « transferts de complexité » est intéressante, mais les exemples cités sont tous assez peu pertinents, ce qui fait qu’on est conduit à se focaliser sur ces exemples et à naturellement les critiquer, y compris la complexité inutile des raisonnements mathématiques. Cher auteur, je me demande comment mettre en valeur votre réflexion sans la ramener à une banale analyse des enjeux de pouvoirs corporatistes ou communautaristes ?



  • Bertrand 11 décembre 2007 11:57

    Ce genre d’orthographe fantaisiste est absolument insupportable. Il ne suffit pas d’utiliser un correcteur orthographique : un tout petit peu d’efforts et on pourra peut-être lire vos articles, cher auteur ! Personnellement, je n’ai pas pu aller plus loin que la 10ème ligne, alors que le fond a l’air intéressant ... Dommage


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