Je vous dis cela pour démontrer que malgré les tentatives de formatage de l’individu, soit par nos parents, soit par notre classe sociale, soit par des dogmes, nous pouvons par le choix de nos lectures, par la qualité de nos professeurs durant nos formations scolaires et professionnelles, échapper à la pensée unique des moutnouilles (contraction de moutons et andouilles).
Les religions devraient rassembler. J’ai fait le constat quelles divisent et engendrent la violence. Elles ne sont que Pouvoir. Un parmi tant d’autres d’ailleurs.
Nous garderons nos divergences quant au catholicisme. Il semble que nous n’ayons pas les mêmes lectures.
Vous avez le droit d’affirmer que le catholicisme n’était pas tout puissant. J’affirme le contraire.
Comme beaucoup de français, mes parents m’ont baptisé alors que j’avais deux mois. Par ce baptême, je suis donc devenu catholique sans que je puisse donner mon avis.
Entre temps, je suis allé à l’école publique, dans mon petit village natal. J’ai ensuite appris un métier dans un lycée public et par ma pratique professionnelle qui m’a permis de voyager sur tout le globe, j’ai développé ma propre philosophie que je n’impose à personne. Mes lectures et mon regard sur le comportement humain m’ont permis de mieux appréhender les réactions individuelles et surtout de groupes.
L’humain peut être capable de réaliser des choses formidables comme il peut être capable du pire lorsqu’il se reconnaît par sa communauté. L’histoire nous le rappelle.
La catholicisme était tout puissant lors de la monarchie. La France était la fille aînée de l’église romaine et le roi son représentant. La décapitation du roi avait entre autre pour symbole la rupture entre le Vatican et la République naissante.
Parce que j’ai compris le danger que sont les religions, les sectes, je suis allé jusqu’à la débaptisation et le ciel ne m’est pas encore tombé sur la tête. Alléluia !