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Bidibule

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  • Bidibule Bidibule 7 janvier 2012 11:56

    Là c’est un discours limpide et altruiste ... Humain quoi.
    Rien à redire.
    Bravo et merci Viva.


  • Bidibule Bidibule 6 janvier 2012 16:49

    Marion Gaud,

    Je tiens à réagir à plusieurs de vos propos guidés par une certaine mauvaise foi et la volonté certaine de faire parler de vous au risque de nuire considérablement à la crédibilité d’une association qui œuvre pour la même cause que la votre.

    Que votre Association ait été crée avant celle de Sylvie Imbert ne justifie en rien une quelconque suprématie et pertinence. (Vous en conviendrez)

    Tout comme, si demain, une nouvelle association devait être crée, les co fondateurs et membres de l’association BACLOFENE en seraient tous ravis.

    Plus nous seront nombreux à parler du Baclofene, mieux ce sera.

    Le Baclofene n’est pas un miracle mais un traitement. Les miracles n’existent pas scientifiquement parlant.

    Pour prendre un exemple au hasard … Moi smiley … Mia Olsen et Sylvie Imbert m’ont toutes deux conseillé un médecin prescripteur qui était également psychothérapeute.

    Car il va de soi que le baclofene ne va pas soigner les bobos de l‘âme même si la maladie alcoolique accentue encore plus le mal être, la précarisation, l’isolement et les problèmes de sociabilité.

    Je vous cite : le monde de l’alcoologie rejette le traitement mais que les alcoologues sincèrement préoccupés par leurs patients se mettent de plus en plus à l’utiliser. »

    Donc, si je suis votre raisonnement, il serait intéressant de compter le nombre d’alcoologues en France ainsi que le nombre d’alcoologues prescrivant le Baclofène.

    Nous aurions donc le nombre d’ alcoologues sincèrement préoccupés par leurs patients en France. Edifiant.
    Après, ont peut compter le nombre de malades alcooliques « déclarés » et nous obtiendrions le ratio : Nbre de alcoologues sincèrement préoccupés / Nbre de patients dépendants.

    No comment.

    Oui le cerveau est complexe. Non nous n’en sommes pas aux balbutiements de la connaissance du cerveau.

    Mais il est choquant de constater que tout pourrait avancer plus vite en y mettant les moyens.

    Un peu de lecture
    http://www.priorite-cerveau.com/uploads/PDF/priorite-cerveau-dp.pdf

    Comme c’est assez long, je vous invite à lire surtout les pages 33 et 34 qui parle des 10 priorités pour progresser dans la connaissance du cerveau et soigner ses maladies. La connaissance biologique est une science qui permet les progrès thérapeutiques.

    La biologie ne peut rien faire pour l’huissier qui vient frapper à la porte, ce n’est pas une maladie et donc ne nécessitant pas un traitement médical. (d’autres solutions existent – les mêmes que pour les personnes qui ne seraient pas alcooliques)

    Je ne m’étendrai pas sur les lobbies des laboratoires qui ont pris depuis bien longtemps la médecine en otage.

    Ni sur nos amis viticulteurs qui en période électorale n’ont pas grand chose à craindre. Le vin pas taxé (électeurs viticulteurs) le rhum (producteurs des Dom). Zut, j’ai pas vérifié pour le cognac …

    Pour terminer,  de vous à moi, nous n’avons pas beaucoup de choses en commun : ni les mêmes valeurs, ni la même morale, ni la même empathie à l’égard des autres ni même la définition de ce qu’est l’agressivité.

    Permettez moi de vous dire, que votre intrusion / réaction à l’article de Sylvie Imbert n’était pas lucide mais agressive car uniquement mue par la volonté de servir votre intérêt personnel et satisfaire votre besoin de reconnaissance ainsi que votre ego.

    Au risque de déstabiliser des personnes s’intéressant au Baclofène et qui ne pourraient que fuir en lisant vos propos à l’égard d’une association sœur qui œuvre pour la même cause.

    Oui, parlons du baclofene, mobilisons nous, crions au scandale, mettons les politiques, médecins, laboratoires, … Devant leurs propres responsabilités.

    Indignons nous au moins un peu. C’est une question de vie.

    Bon, en tout cas bien contente d’avoir eu connaissance du Baclofène et il était grand temps !

    A force de carburer au Cheval Blanc 1947 … J’avais presque plus de sous et je risquais de me retrouver à la porte du château

    IL Y A UN GROS HIC !

    Bidibule,
    Membre de l’association http://www.baclofene.com/



  • Bidibule Bidibule 6 janvier 2012 16:34

    Marion Gaud,

    Je tiens à réagir à plusieurs de vos propos guidés par une certaine mauvaise fois et la volonté certaine de faire parler de vous au risque de nuire considérablement à la crédibilité d’une association qui œuvre pour la même cause que la votre.

    Que votre Association ait été crée avant celle de Sylvie Imbert ne justifie en rien une quelconque suprématie et pertinence. (Vous en conviendrez)

    Tout comme, si demain, une nouvelle association devait être crée, les co fondateurs et membres de l’association BACLOFENE en seraient tous ravis.

    Plus nous seront nombreux à parler du Baclofene, mieux ce sera.
    Le Baclofene n’est pas un miracle mais un traitement. Les miracles n’existent pas scientifiquement parlant.

    Pour prendre un exemple au hasard … Moi smiley … Mia Olsen et Sylvie Imbert m’ont toutes deux conseillé un médecin prescripteur qui était également psychothérapeute.
    Car il va de soi que le baclofene ne va pas soigner les bobos de l‘âme même si la maladie alcoolique accentue encore plus le mal être, la précarisation, l’isolement et les problèmes de sociabilité.

    Je vous cite : le monde de l’alcoologie rejette le traitement mais que les alcoologues sincèrement préoccupés par leurs patients se mettent de plus en plus à l’utiliser. »

    Donc, si je suis votre raisonnement, il serait intéressant de compter le nombre d’alcoologues en France ainsi que le nombre d’alcoologues prescrivant le Baclofène.

    Nous aurions donc le nombre d’ alcoologues sincèrement préoccupés par leurs patients en France.
    Edifiant.

    Après, ont peut compter le nombre de malades alcooliques « déclarés » et nous obtiendrions le ratio : Nbre de alcoologues sincèrement préoccupés / Nbre de patients dépendants.
    No comment.

    Oui le cerveau est complexe.

    Non nous n’en sommes pas aux balbutiements de la connaissance du cerveau.

    Mais il est choquant de constater que tout pourrait avancer plus vite en y mettant les moyens.
    Un peu de lecture

    http://www.priorite-cerveau.com/uploads/PDF/priorite-cerveau-dp.pdf

    Comme c’est assez long, je vous invite à lire surtout les pages 33 et 34 qui parle des 10 priorités pour progresser dans la connaissance du cerveau et soigner ses maladies

    La connaissance biologique est une science qui permet les progrès thérapeutiques

    La biologie ne peut rien faire pour l’huissier qui vient frapper à la porte, ce n’est pas une maladie et donc ne nécessitant pas un traitement médical. (d’autres solutions existent – les mêmes que pour les personnes qui ne seraient pas alcooliques)

    Je ne m’étendrai pas sur les lobbies des laboratoires qui ont pris depuis bien longtemps la médecine en otage.

    Ni sur nos amis viticulteurs qui en période électorale n’ont pas grand chose à craindre. Le vin pas taxé (électeurs viticulteurs) le rhum (producteurs des Dom). Zut, j’ai pas vérifié pour le cognac.

    Pour terminer,  de vous à moi, nous n’avons pas beaucoup de choses en commun : ni les mêmes valeurs, ni la même morale, ni la même empathie à l’égard des autres ni même la définition de ce qu’est l’agressivité.

    Permettez moi de vous dire, que votre intrusion / réaction à l’article de Sylvie Imbert n’était pas lucide mais agressive car uniquement mue par la volonté de servir votre intérêt personnel et satisfaire votre besoin de reconnaissance ainsi que votre ego. Au risque de déstabiliser des personnes s’intéressant au Baclofène et qui ne pourraient que fuir en lisant vos propos à l’égard d’une association sœur qui œuvre pour la même cause.

    Oui, parlons du baclofene, mobilisons nous, crions au scandale, mettons les politiques, médecins, laboratoires, … Devant leurs propres responsabilités.

    Indignons nous au moins un peu. C’est une question de vie.

    Bon, en tout cas bien contente d’avoir eu connaissance du Baclofène et il était grand temps !
    A force de carburer au Cheval Blanc 1947 … J’avais presque plus de sous et je risquais de me retrouver à la porte du château

    IL Y A UN GROS HIC !

    Bidibule,
    Membre de l’association http://www.baclofene.com/


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