Marion Gaud,
Je tiens à réagir à plusieurs de vos propos guidés par une certaine mauvaise fois et la volonté
certaine de faire parler de vous au
risque de nuire considérablement à la crédibilité d’une association qui œuvre
pour la même cause que la votre.
Que votre Association ait été crée avant celle de Sylvie
Imbert ne justifie en rien une quelconque suprématie et pertinence. (Vous en
conviendrez)
Tout comme, si demain, une nouvelle association devait être
crée, les co fondateurs et membres de l’association BACLOFENE en seraient tous
ravis.
Plus nous seront nombreux à parler du Baclofene, mieux ce sera.
Le Baclofene n’est pas un miracle mais un traitement. Les
miracles n’existent pas scientifiquement parlant.
Pour prendre un exemple au hasard … Moi … Mia Olsen
et Sylvie Imbert m’ont toutes deux conseillé un médecin prescripteur qui était
également psychothérapeute.
Car il va de soi que le baclofene ne va pas soigner les
bobos de l‘âme même si la maladie alcoolique accentue encore plus le mal être,
la précarisation, l’isolement et les problèmes de sociabilité.
Je vous cite : le monde de l’alcoologie rejette le
traitement mais que les alcoologues
sincèrement préoccupés par leurs patients se mettent de plus en plus à
l’utiliser. »
Donc, si je suis votre raisonnement, il serait intéressant
de compter le nombre d’alcoologues en France ainsi que le nombre d’alcoologues
prescrivant le Baclofène.
Nous aurions donc le nombre d’
alcoologues sincèrement préoccupés par leurs patients en France.
Edifiant.
Après, ont peut compter le nombre de malades alcooliques
« déclarés » et nous obtiendrions le ratio : Nbre de alcoologues
sincèrement préoccupés / Nbre de patients dépendants.
No comment.
Oui le cerveau est complexe.
Non nous n’en sommes pas aux balbutiements de la connaissance
du cerveau.
Mais il est choquant de constater que tout pourrait avancer
plus vite en y mettant les moyens.
Un peu de lecture
http://www.priorite-cerveau.com/uploads/PDF/priorite-cerveau-dp.pdf
Comme c’est assez long, je vous invite à lire surtout les
pages 33 et 34 qui parle des 10 priorités pour
progresser dans la connaissance du cerveau et soigner ses maladies
La connaissance biologique est une science qui permet les
progrès thérapeutiques
La biologie ne peut rien faire pour l’huissier qui vient
frapper à la porte, ce n’est pas une maladie et donc ne nécessitant pas un
traitement médical. (d’autres solutions existent – les mêmes que pour les
personnes qui ne seraient pas alcooliques)
Je ne m’étendrai pas sur les lobbies des laboratoires qui
ont pris depuis bien longtemps la médecine en otage.
Ni sur nos amis viticulteurs qui en période électorale n’ont
pas grand chose à craindre. Le vin pas taxé (électeurs viticulteurs) le rhum (producteurs
des Dom). Zut, j’ai pas vérifié pour le cognac.
Pour terminer, de
vous à moi, nous n’avons pas beaucoup de
choses en commun : ni les mêmes valeurs, ni la même morale, ni la même
empathie à l’égard des autres ni même la définition de ce qu’est l’agressivité.
Permettez moi de vous dire, que votre intrusion /
réaction à l’article de Sylvie Imbert n’était pas lucide mais agressive car
uniquement mue par la volonté de servir votre intérêt personnel et satisfaire
votre besoin de reconnaissance ainsi que votre ego. Au risque de
déstabiliser des personnes s’intéressant au Baclofène et qui ne pourraient que
fuir en lisant vos propos à l’égard d’une association sœur qui œuvre pour la même cause.
Oui, parlons du
baclofene, mobilisons nous, crions au scandale, mettons les politiques,
médecins, laboratoires, … Devant leurs propres responsabilités.
Indignons nous au
moins un peu. C’est une question de vie.
Bon, en tout cas bien contente d’avoir eu connaissance du
Baclofène et il était grand temps !
A force de carburer au Cheval Blanc 1947 … J’avais presque
plus de sous et je risquais de me retrouver à la porte du château
IL Y A UN GROS
HIC !
Bidibule,
Membre de l’association http://www.baclofene.com/