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blaz

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  • blaz 27 août 2008 13:01

    concernant la programmation en parrallèle, effectivement, il ya comme un problème. Si le matériel est disponible pour effectuer des traitements en parralèle, nous n’avons pas de framework de développement (sauf celui cité qui s’intégrera dans le studio dot net) . Par ailleurs, comme le dit l’article, les techniques de développement ne sont pas encore très répandues parmi les développeurs en place dans les entreprises.
    Pour ma part, je suis développeur dans une grosse banque. Mon job consiste à maintenir et alimenter les entrepôts de données. Dans le cadre de mon travail, j’essaie de voir ou on pourrait bien mettre du traitement parralèle, mais honnêtement, je ne vois pas trop où. (mais il est fort possible qu’il me manque tout bêtement le niveau conceptuel nécessaire). Nos traitements sont massivement séquentiels pour la bonne raison, que le traitement N+1 s’appuie sur le résultat du traitement N. Ce chaînage des traitements est la résultante de ce qu’est le fonctionnel.
    Aussi, je me pose la question de savoir, si le traitement massivement parrallèle est applicable à tous les domaines du traitement de l’information. (il y aurait donc un travail à faire sur la conceptualisation, le passage du fonctionnel à la logique de prog. parralèle, snas compter la formation idoine pour les développeurs en place - comme à l’époque on a pu le faire avec la méthode merise appliquée aux bases de données )

    Par ailleurs, concernant le processeurs à 1000 coeurs, est ce vraiement réalisable ?
    Je prends l’exemple du threading en programmation java (ce qui est le début du traitement de données en parrallèle). Au dela d’un certain nombre de threads/processus lancés, la courbe de performance s’aplatit, car finalement le système passe plus de temps à gérer les accès en concurrence de tous les processus, voire à lancer et éteindre les différents processus que d’effectuer le travail en lui même (je sais c’est un résumé un peu grossier mais bon). Dans le cadre d’un processeur à 1000 coeurs, combien de coeurs seront uniquement dédiés à la gestion de l’ensemble ?

    Comme dit dans un autre commentaire, l’optimisation des ressources existantes est sans doute plus intéressante. Le grid computing pourrait même sauver la planète (soyons visionnaire smiley)) . prenez une tour à la Défense. Environ 3000 personnes y travaillent. Ce qui signifie, 3000 pcs, et mettons 500 serveurs. la nuit, les serveurs tournent à plein régime pour effectuer les traitements de données (par exemple l’intégration des flux d’informations des filiales de toute la planète, ce qui peut représenter 10Go de données à ingurgiter par nuit), pendant ce temps là, les 3000pcs, sont occupés à afficher l’écran de veille. en distribuant le calcul sur les 3000pcs, on pourrait faire baisser la pression sur les serveurs, rentabiliser au mieux les machines, et payer l’électricité du bazar pour autre chose, que les écrans de veilles (et au passage éviter de construire une centrale nucléaire pour alimenter tous les datas centers de paris par exemple).



  • blaz 28 mai 2008 14:16

    en même temps ; on ne "se convertit" pas à l’homosexualité.

    On l’est ou pas.

    De la même manière, qu’on ne "se convertit" pas à l’hétérosexualité.

    On l’est ou pas.

     



  • blaz 25 mars 2008 10:49

    bon alors je suis né en 1980, j’ai aussi grandi avec dorothée. mais je vias faire le rabat-joie : c’est quoi cette chaîne de daube ? Parce que le retour de dorothée, cest quand même pas ce qu’on a fait de plus original pour une nouvelle chaîne TNT ! et pourquoi pas le retour de nicolas et pimprenelle tant qu’on y est ?

    Bon passons sur la qualité des programmes, chacun voit midi à sa porte, ce qui m’énèrve surtout cest que c’est sensé être une chaîne régionale (oui, c’était la condition sine qua non du CSA pour l’attribution de la fréquence).

    Car Paris et l’ile de france sont la seule région à ne pas avoir de chaîne régionale clairement indetifiée (comme TV 8 mont blanc, clermont première etc, même cholet 60 000hab. a sa chaîne locale).

    Quid à paris ? Paris première ? elle n’a rien de locale ? France 3 Ile de France Centre ? une chaine qui est locale de orléans à beaugency en apssant par paris et tours est sans doute un peu diluée.

    Alors une ville de 2 millions d’habitants , centre ville d’une conurbation de 11millions d’habitants mériterait peut être une chaîne locale digne de ce nom, et pas cet erzatz de télé pour nostalgiques des années 80.

    Alors que d’autres chaines vraiment locales étaient sur les rangs (zaléa, tv bocal par exemple) on se retrouve avec la maison de retraite des émissions de jeunesse de notre enfance. Comment IDF1 compte-t-elle justifier son ancrage local ?

    J’avias prévenu que j’allais faire mon rabat-joie.
    Na.



  • blaz 7 mars 2008 19:15

    "Avez-vous remarqué que la délinquance et les conflits mondiaux augmentent proportionnellement à la densité de population"

    je ne suis pas bien sur de cette corrélation. Prenez une ville comme paris (intra muros) vous avez une densité parmi la plus élevée d’europe, pourtant la délinquance y est moindre qu’une ville comme villiers le bel où la densité y est moindre. 

    Autre exemple : Hong kong est la ville la plus dense du monde et pourtant son taux de criminalité est inférieur à celui de dallas qui est une ville très étendue comparée à sa population. 

    Votre assertion me semble bancale à tout le moins.

    cordialement ;



  • blaz 28 novembre 2007 19:05

    « des tours dans plusieurs arrondissements périphériques un peu plus éloignés que la tour Montparnasse, mais finalement d‘un impact visuel presque aussi important ? »

    moui alors l’argument de la tour montparnasse me paraît ici un peu fallacieux. Effectivement la tour montparnasse s’insère dnas le quartier gaité/montpar avec la grâce d’un pylône EDF au milieu du lac léman. C’est vrai on a rasé un quartier typique avec ses habitants, sa culture locale pour y construire un centre commercial surmontée d’une tour passablement amiantée soit dit en passant.

    Hors les quartiers ou les tours sont proposées sont des « non-quartiers » : des zones où de toute façon il n’y avait rien et où il ne pousse rien. La porte de bercy est un plat de nouilles d’échangeurs routiers entre le périphérique l’A4 et les voies sur berge, auxquels il faut ajouter les rails du TGV, du RER D, des ateliers SNCF et les boulevards des maréchaux. La porte de la chapelle est un éhcangeur de rail entre le faisceau de la gare du nord, de l’est, des ateliers SNCF (encore eux) le périf, et l’A1. La zone tolbiac est une friche industrielle traversée par les voies du RER C, le traffic de la gare d’austerlitz, le périf (toujours) et de l’autre coté, un incinérateur, un leroy merlin monstrueux, et des entrepots SNCF. Ces trois zones là sont quasi inhabitées (sauf la porte de la chapelle certes mais il faut voir les taudis verticaux qui s’y entassent) et surement inhabitables snas une opération d’urbanisme lourde. Et c’est là que le concept de tour est intéressant, car vu la masse inhumaine de ces non-quartiers (rails, entrepots, gigantesques échangeurs etc) , il faut des immeubles à l’échelle des infrastructures existantes. Vous imaginez une zone pavillonnaire au milieu de la porte de bercy ??? Des bâtiments donc à l’échelle, donc grands forcément et tant qu’à faire capable de cacher la laideur d’un périf, d’une zone de fret et de faisceaux de rails. D’où l’intérêt de tours à ces endroits, capables de rendre ses quartiers vivables , et en les implantant dans des zones restructurées (on construit une dalle sur les rails, ex quartier BNF), on recouvre le périf, et on met des jardins dessus (exemple porte des lilas-porte de bagnolet) etc.

    Dire « non non pas de tours dans paris, sinon on va raser le boulevard haussman pour y reconstruire sarcelles » est un argument un tantinet démagogique. Il n’est pas question dans le projet cité de construire des immeubles de grande hauteur ailleurs que dans les non-quartiers, zones qui par excellence se prête à l’expérimentation urbaine.

    Enfin, paris et la conurbation ne pourront échapper à la verticalité, car la densification est uen réponse nécessaire à l’étalement urbain ayant pour conséquences : temps de trajets à rallonge, pollution, incapacité à déssercir correctement les zones éloignées en transports en commun et en infrastructures en général.


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