Je réagis, car je suis un peu stupéfaits depuis hier par le parti-pris de cet article, par ailleurs intéressant, comme le sont toutes vos contributions Wesson.
Mettre les choses à plat pour tenter d’y voir plus clair, et dépassionner le débat, très bien... Mais affirmer avec un tel aplomb un diagnostic aussi tranché, compte tenu du peu d’éléments dont on dispose... c’est prendre le risque de se planter et de perdre en crédibilité.
Vous pouvez toujours nuancer après coup votre propos, au risque de vous « Bessoniser »... Un petit méa-culpa serait tout à votre honneur compte tenu de la taille de la boulette, l’erreur est humaine...
A la réflexion, ne s’agit-il pas d’avantage d’une « androgynisation » générale de la société ? Une sorte de « posture unique » tran-sexe ? Chacun cherchant à apparaitre sur « le marché » comme étant cool, performant, disponible, malléable, pour se donner une chance d’être élu parmi les « winner/euse.
Quand au courage, je ne suis pas persuadé qu’il soit nécessairement proportionnel à la testostérone, ;) même s’il est vrai qu’en cas de crise armée celle-ci redevient un bien précieux et qu’on a trop tendance à l’oublier dans nos pays aseptisés.
Je trouve cette analyse très pertinente ! Quitte à passer pour un affreux royaliste que je ne suis pas, je m’interroge quand au lien entre la décapitation de Louis XVI et cette curieuse spécificité française ?
Je partage tout à fait votre opinion, c’est là que le système devient machiavélique, c’est qu’il nous confisque tout moyen de lutte radicale, si ce n’est un chao généralisé...