Il existe une autre possibilité d’ abroger la loi sur le passe sanitaire. Celle de voter majoritairement contre, dans la troisième chambre parlementaire référendaire, ou l’ organe de contrôle populaire parlementaire. C’ est par ici.
Libre à toi Fifi l’ européiste de ne pas aimer le parlement direct, mais cela ne te donne pas le droit d’ en dégoûter les français. NON, il n’ y a pas de fatalité, mais de la mauvaise volonté.
(C’ est un peu comme si tu reprochais aux résistants de 39-45 de résister puisque désormais, après l’ invasion de la France par l’ Allemagne, tout se décidait à Berlin).
Contrairement à ces schizophrènes, c’ est avec toute ma raison que j’ appelle à voter directement les vrais projets ou propositions de loi du gouvernement Macron, « pour » ou « contre », dans le groupe public du « parlement direct ». Là, chaque français majeur en s’ y inscrivant deviendra un député « direct » de ce parlement « direct » simplifié (on peut commenter les futures lois et les voter mais pas encore les amender).
Les députés de l’ assemblée nationale sont « élus » durant les élections législatives (577 députés), quant aux 348 sénateurs qui forment l’ autre moitié de ce parlement (chambre haute), ils sont cooptés (suffrage universel indirect). Dans le « parlement direct » ouvert à tous, il n’ y a que des députés « directs », c’ est-à-dire des français majeurs qui ont fait la démarche de s’ y inscrire, ils représentent ainsi le gouvernement à eux seuls car, dans une démocratie « directe » le français évolue souverain (c’ est lui le chef).
Dans le groupe du parlement direct il y a le sous-groupe « Critiques délibérées » où il est prévu, avec un dispositif de votes décisionnels, de discuter démocratiquement de sa technicité en tout point (c’ est l’ objet du logiciel Loomio ici détourné : la prise de décision dans le cadre d’ un groupe).
Il est donc raisonnable d’ y ouvrir une discussion pour proposer et débattre de cette fonction dans ce parlement direct fonctionnel : proposer et délibérer des projets de lois (le français « direct » évolue souverain dans une démocratie « directe »). Toute loi qui serait adoptée par le vote « dynamique » serait... légale aux yeux des français « directs ».
Pour devenir un député « direct » il suffirait de s’ inscrire au parlement « direct » (c’ est ce qui permet d’ invalider l’ abstentionnisme « opportuniste »). Pour devenir un français « direct » il conviendrait d’ accepter de vivre sous le régime de la démocratie « directe » (c’ est ce qui permet d’ invalider l’ abstentionnisme « politique » ou rebelle par le choix du régime national).
Ce « micro-univers » devrait commencer virtuel, comme une graine qui pousse invisiblement sous terre, avant de percer légitimement à l’ air libre et grandir ensuite dans la société, pour mieux s’ y épanouir progressivement. La légitimité serait avant tout une question de « masse critique ». Le peuple « direct » est souverain : il n’ a pas à demander l’ autorisation d’ exister et il respecte a priori les autres régimes.