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BRIATTE

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  • Premier article le 21/07/2014
  • Modérateur depuis le 27/06/2015
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • BRIATTE 24 juillet 2014 11:04

    J’ai cherché l’information concernant la mort de V. Kovshun sur les sites du KPU, d’Interfax Ukraine (Donetsk), etc, et ne l’ai pas trouvée.

    Pouvez-vous indiquer vos sources ? Je lis le russe, donc pas de problème. Merci

    Nadine Briatte



  • BRIATTE 22 juillet 2014 18:12

    Pour Cistus

    Vous avez raison : notre analyse n’est pas très orthodoxe d’un point de vue marxiste, mais ce n’était pas le but de la publication. Nous avons tenté de faire un récapitulatif historique de la question de l’immigration latine aux États Unis (EU), problème devenu majeur et qui le restera désormais. Toute organisation politique étasunienne anti-système devra forcément prendre en compte cette réalité. Nous ne prétendons pas attribuer aux migrants qui fuient la misère et la violence une volonté révolutionnaire quelconque, mais la situation à laquelle ils se voient confrontés, due en grande partie au rejet de la société anglo-saxonne, a engendré cette lutte entre les deux cultures, latine et anglaise, aujourd’hui omniprésente.

    Beaucoup de « phénomènes » nouveaux sont nés de cette situation. Le plus ancien est le repli de la communauté et la sauvegarde de ses coutumes après l’annexion. Un des derniers a été l’apparition des bandes (pandillas) qui se sont ensuite répandues -suite à la politique de déportation des EU- dans leurs pays d’origine, provoquant les problèmes qu’on connaît y compris dans des pays aux gouvernements progressistes comme le Nicaragua, mais surtout à El Salvador dont la lutte contre la criminalité constitue un des piliers d’action. Vous pouvez consulter à ce sujet notre article : http://www.legrandsoir.info/le-salvador-la-victoire-electorale-du-fmln-et-la-politique-migratoire-des-etats-unis.html

    N Briatte et JC Cartagena


    Pour César Castique

    Effectivement au milieu du XIXème siècle où le capitalisme n’était pas encore globalisé, Marx et Engels n’ont pas pu analyser correctement tous les effets néfastes sur les sociétés, en particulier les dépendantes et les périphériques, sortant à peine du colonialisme, comme celles d’Amérique Latine. Ce qui ne diminue en rien la valeur de leurs découvertes scientifiques et sociales. L’inégalité de développement a attribué à certaines couches sociales d’autres rôles qu’en Europe. Nous pouvons mentionner rapidement les révolutions cubaines et nicaraguayennes ou encore la contribution inédite de chrétiens (théologie de la libération) aux luttes de libération.

    L’incompréhension des théoriciens du marxisme concernant le caractère des luttes d’indépendance (et des discours des indépendantistes eux mêmes) est un des vides que nous, latino-américains, devons combler. C’est le sens des prédicats que Simon Rodriguez a voulu nous faire comprendre : notre libération, ce sera une création « héroïque » -a ajouté le marxiste péruvien Juan Carlos Mariàtegui- et pas seulement une imitation.

    JC Cartagena



  • BRIATTE 22 juillet 2014 17:18

    Bonjour Isga,

    Le changement de la constitution de Pinochet est inclus dans le programme de gouvernement de la NM et il sera mis en chantier fin 2014 / début 2015.

    La modalité (projet gouvernemental avec plébiscite, assemblée citoyenne, assemblée constituante, etc.) n’est par contre pas encore définie.

    D’où notre phrase : « Et notre vigilance restera entière quant à une réforme que nous considérons comme fondamentale : celle des institutions. »

    N Briatte et JC Cartagena



  • BRIATTE 31 janvier 2014 16:50

    POUR INFO .....

    http://www.cgt.fr/Thierry-Lepaon-ecrit-a-Roger.html

    Rencontre entre le CRIF et la CGT

    Thierry Lepaon écrit à Roger Cukierman

    vendredi 31 janvier 2014

    Suite à la rencontre entre le CRIF et la CGT du 28 janvier dernier et la référence qui en est faite sur leur site, voici le courrier que Thierry Lepaon a adressé ce jour à Roger Cukierman, Président du CRIF.

    Monsieur le Président,

    Je suis très étonné de découvrir un compte-rendu à la fois partiel et erroné de la rencontre que nous avons eue avec vous-même et des représentants de votre association. Rappelons que cette rencontre faisait suite à une invitation de votre part afin d’évoquer les questions d’actualité et notamment la question de la montée de l’extrême droite et notre inquiétude commune face aux relents d’antisémitisme, d’islamophobie et plus globalement de racisme dans notre pays.

    Sur la méthode d’abord, lorsqu’une rencontre de ce type est prévue avec des dirigeants de la CGT et notamment le Secrétaire général, il est d’usage de nous faire part au préalable de l’intention de rendre compte publiquement de l’échange et d’en faire vérifier le contenu par les participants. Ce manque de rigueur de la part d’une organisation comme le CRIF est de nature à entacher une relation de confiance entre nos organisations.

    Cette démarche aurait permis de corriger une grave inexactitude dans les propos que vous me prêtez concernant la position de la CGT vis-à-vis de la campagne BDS (Boycott Désinvestissement Sanction). En l’occurrence, je n’ai fait que confirmer que la CGT ne s’inscrivait pas dans la campagne BDS. En revanche, la CGT n’a jamais condamné ni ce mouvement ni ses acteurs dont certains sont d’ailleurs des adhérents de la CGT.

    Le titre de l’article « La CGT condamne le BDS » posté sur votre site sous la rubrique « Le CRIF en action » me paraît relever d’une intention qui n’est pas respectueuse à l’égard de la CGT et de ses prises de positions.

    Je vous demande donc de le supprimer. Afin qu’il ne subsiste aucune ambiguïté sur ce sujet, je me permets de vous rappeler brièvement la position de la CGT et les actions qu’elle mène, aussi bien en faveur de la paix entre les peuples israéliens et palestiniens que de la liberté d’expression des militants du BDS en France.

    Ces actions s’inscrivent dans la solidarité de la CGT à l’égard des travailleurs de tous les pays et en faveur de la paix dans le monde. Elles partent du constat de la situation dramatique de la Palestine qui s’enracine dans l’occupation illégale des territoires conquis par Israël et le renchérissement de sa politique de colonisation. La CGT a toujours œuvré aux côtés de celles et de ceux qui se mobilisent pour la paix, en Israël comme en Palestine. Elle entretient des contacts syndicaux avec les travailleurs de cette région et c’est en lien avec ces organisations syndicales qu’elle recherche les moyens les plus efficaces et participe aux campagnes en faveur d’une paix juste et durable au proche-orient.

    C’est le sens de la délégation conduite par Bernard THIBAULT en février 2013 en Palestine, à Gaza et en Israël. Forts de cette approche, nous considérons que le boycott global d’Israël ne favorise pas cette stratégie de paix et la coexistence de deux Etats, l’Etat Palestinien et l’Etat d’Israël. Par contre, la CGT s’inscrit totalement dans la campagne d’interdiction des produits fabriqués dans les colonies et dans l’obligation de transparence sur l’origine des produits israéliens destinés à l’exportation afin que l’Etat d’Israël soit contraint de respecter le droit international.

    Enfin, je vous rappelle que la CGT, par la voix de Bernard THIBAULT, alors Secrétaire général, est signataire de l’appel initié par Stéphane HESSEL pour la relaxe des militants poursuivis pour leur participation à des actions de boycott. Ce soutien a été renouvelé le 17 décembre dernier, par une délégation de la CGT, de la LDH, de l’AFPS et de parlementaires auprès de la Ministre Christiane TAUBIRA demandant le retrait des circulaires Alliot-Marie et Mercier. Je tiens à vous préciser que je rendrai ce courrier public et vous prie d’agréer, Monsieur le Président, mes salutations distinguées.

    Thierry Lepaon
    Secrétaire général de la CGT




  • BRIATTE 24 janvier 2014 13:31

    Au XIX siècle on avait encore l’habitude de déclarer la guerre à son ennemi. Cependant, le gouvernement chilien a déclenché les hostilités sans préavis. La guerre du Pacifique a commencé avec la décision du Président chilien Aníbal Pinto d’occuper la région d’Antofagasta qui appartenait à l’époque à la Bolivie .

    Le 14 février 1879, trois navires chiliens sont arrivés, pour les bloquer, devant les quatre ports de la région (Antofagasta, Mejillones, Cobija et Caracoles) revendiquant en même temps ces territoires. Le même jour, les troupes chiliennes ont occupé le port d’Antofagasta.

    Par la suite, c’est seulement après la bataille de Calama (le 23 mars) où l’armée chilienne a mis en déroute des civils patriotes boliviens avec le martyr Eduardo Abaroa à leur tête, que le Chili a déclaré la guerre à la Bolivie, puis au Pérou le 5 avril 1879.

    Le Chili a décidé d’envahir le territoire bolivien suite à un différend sur des taxes que la Bolivie voulait imposer à l’exportation du salpêtre.

    C’est donc bien le Chili qui a déclenché les événements et déclaré la guerre à ses voisins, pour les intérêts de l’industrie salpêtrière dont une bonne partie se trouvait aux mains de compagnies anglaises.


    J.C. Cartagena.


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