D’après Ibn `Abbâs (qu’Allah soit satisfait de lui), le jour de la prise de La Mecque, le Prophète (pbAsl) a dit : "Vous n’êtes point tenus d’émigrer, mais vous devez faire la guerre sainte avec une bonne intention. Si on vous invite à faire le djihad, obéissez".
Vos explications, nos amis socialos n’en ont rien à foutre, ce qui les intéresse c’est taper sur Sarko, débattre autour des 175 motions et se rassembler au prochain congrès en 1550 tendances..
Parlez leur des chansons de Cali et du supershow du Zénith, ça les occupera.
360 milliards, c’est aussi l’équivalent des coûts des 30 années de socialisme avec les 35 heures, l’augmentation de 1 million de fonctionnaires, l’immigration et les dépenses d’assistanat...
Communiqué du bureau central du Parti Socialiste Français, membre du secrétariat unifié de la Vingt quatrième internationale.
Grâce à la perspicacité et à l’ingéniosité des dirigeants socialistes tels que Royal, Hollande, Bayrou, Moscovici, Vals, Hamon, Dray. Aubry, Delanoé, Pupunat, Peillon, Bianco, Emmanueli, Bartelone, Montebourg, Lienemann, Fabius, Poperen, Cambadelis(1) et après 1678 heures d’intenses enquêtes d’analyses et de débats participatifs, la responsabilité ou plutôt le responsable de la grave crise financière a pu être identifié avec une diabolique précision : c’est Nicolas Sarkozy qui a foutu le monde de l’économie irréelle dans la merde.
Une délégation conduite par Mélanchon et Ségolène Royal a été missionnée pour aller expliquer, preuves à l’appui, à Bush, Obama, MacCain, Paulson et Bernanke qu’il est inutile d’aller plus loin dans la recherche des causes de cette dramatique dégringolade. La délégation PS aura aussi pour mission de certifier que la France seule se chargera de punir l’irresponsable Sarkozy qui sera châtié comme il le mérite. C’est Marcel Chapoutier, commissaire politique du peuple chargé de l’éducation des masses qui aura le privilège d’appliquer la sentence.
1) Les traitres Michel Charasse, Michel Charzat, René Dosière, Pierre Aylagas, Jean Codognè, Bernard Kouchner, Jean-Paul Bachy, René Revol, Jean-Yves Gouttebel, Jean-Claude Beauchaud, Georges Frêche, Alain Baudin, Claude Allègre, Gilles Seguin, Eric Loiselet, Roland Daverdon, André Guyot, Éric Besson, Jean Marie Bockel, Jean-Pierre Jouyet, pris par une grippe intestinale ne participaient pas à cet important cercle de réflexion.
Une politique économique ambitieuse pour protéger et être plus fortdans la mondialisation : Sans rien céder de ses valeurs, notre pays, avec l’Europe, doit aussi se doter d’une politique qui lui permette d’assurer sa souveraineté économique et de tirer le meilleur parti de la mondialisation sur le plan économique. Le temps n’est plus à nous interroger. Il est à nous mobiliser. Et le rôle d’un gouvernement est de créer les conditions à cet effet. Si beaucoup de nos emplois sont moins menacés par elle que par la politique de partage du travail qui réduit artificiellement notre activité, c’est un fait que la différence de coûts salariaux qui existe entre certaines parties du monde entraîne la suppression d’emplois chez nous, notamment dans le domaine industriel. Il faut alors être capable de proposer aux salariés des alternatives professionnelles avec une priorité dans leur bassin d’emploi.
Notre territoire doit être attractif aux investissements étrangers. Mais la mondialisation favorise la création de grandes multinationales qui, avec leurs soustraitants, structurent des pans entiers des économies nationales et dont les intérêts ne coïncident pas toujours avec ceux de leur pays d’implantation, ni avec ceux de leurs salariés. Or, sur ce point, notre situation n’est pas satisfaisante. La participation de fonds étrangers dans le capital de nos entreprises ne cesse d’augmenter, notamment pour les entreprises du CAC 40, et atteint la proportion la plus forte de tous les pays développés.