@moderatus Comment voulez-vous qu’une religion puisse s’adapter aux valeurs de la république si ce qu’elle a de plus sacré (le Coran en l’occurrence) fait l’apologie de valeurs contraires ? Il faut amener les musulmans à se positionner sur ces ambivalences entre un dieu de paix et d’amour et un dieu violent et barbare. La République doit aider en affirmant par des actes que l’un est acceptable, mais pas l’autre. La menace d’une censure est un moyen d’amener les musulmans a se positionner clairement envers l’un... ou envers l’autre...
Je suis donc pour la stigmatisation des versets intolérables du Coran, car je pense que la stigmatisation des écrits d’un livre n’est pas la stigmatisation de ceux qui s’y soumettent. Je suis pour que les musulmans se responsabilisent et se positionnent très clairement face aux propos contradictoires de leur Dieu de paix et d’amour, prôné par le Coran.
Pour lutter contre un « Dieu le dit donc j’ai le droit ! », je ne vois pas d’autre chemin que de répondre « Votre Dieu ne peut avoir dit de telles choses, ou alors il n’est pas ce que vous affirmez de lui ! »
@moderatus "que c’est à la religion de s’adapter aux lois et valeurs républicaines et non l’inverse
" Justement, pour s’adapter le Coran doit expurger ses apologies à la haine à la violence et à la mutilation. La question simple à poser aux musulmans qui souhaitent croire librement en France : votre dieu est-il un barbare, ou votre livre sacré trompe-t-il les croyants sincères ?
Un musulman se radicalise car il croit qu’Allah est radical.
Il croit que Allah est radical parce qu’il lit dans le Coran des propos attribués à Allah d’une extrême radicalité.
Quand Allah dit dans le Coran, qu’il faut trancher la mains des voleurs, ce n’est pas un fanatique ou un Iman radicalisés qui le disent, c’est bel et bel Allah. (c’est du moins ce que prétend le Coran)
Mutiler des voleurs c’est de la barbarie !
Alors de deux choses l’une :
soit c’est Allah qui est barbare, et dans ce cas il n’a pas sa place en France : car la liberté religieuse s’arrête là où commence la barbarie
Soit c’est le Coran qui trompe les fidèles en attribuant des propos barbares à Allah, incompatible avec leur vision d’un dieu de paix et d’amour
Mutiler les voleurs (S5, V38), fouetter les adultères (S24, V2), hair à jamais les non musulmans comme un bon exemple à suivre ? (S60, V4)
Allah est un dieu de paix et d’amour ?
Alors c’est le Coran qui a sa part de responsabilité dans la radicalisation des musulmans et la violence que cela engendre.
« Quand un livre pose un problème à l’ordre publique, pour incitation à la mutilation, la violence, à la haine ; ce livre peut être censuré partiellement ou totalement. »
Le Coran dans sa forme actuelle doit être interdit en France.
Et ce jusqu’à ce que les musulmans Français en extirpent et en renient tout les propos abominables attribués à leur dieu de paix et d’amour.
Les musulmans qui l’accepteront sont les musulmans modérés, et les autres qui vont crier au blasphème sont ces musulmans radicalisés qui veulent continuer de vénérer un dieu barbare.
La femme est inférieure à l’homme (les hommes ne sont pas tenu de se voiler)
Les femmes non voilées sont impudiques impures et d’une moralité douteuse (bonne comme une pièce de deux euros qu’on se passe de main en main)
Rajoutez l’Abaya, et c’est le parfait uniforme de militante ségrégationniste que nous avons là !
C’est le grand retour de l’Apartheid où l’on veut séparer les gens, non pas en fonction de la couleur de la peau, mais en fonction du sexe et de la religion :
les hommes des femmes, les musulmans des non-musulmans.
Que ce genres de messages soient banalisés voir même validés auprès d’enfants au prétexte qu’une sortie scolaire se passe en dehors des locaux de l’école, est un véritable scandale.
Que dirait-on si des mamans décidaient d’accompagner des sorties scolaires en arborant un brassard d’un partie politique extrémiste ?
Ni politique ni religion pendant tout les temps scolaires, que cela soit dans une classe ou en dehors. Ce n’est peut-être pas la loi aujourd’hui, mais c’est le principe qui devrait être défendu.
Le premier c’est l’infériorité de la femme par rapport à l’homme (les hommes ne sont pas tenu de se voiler).
Le second plus insidieux, est que la femme non voilée est d’une moralité douteuse et donc inférieure à la « digne » femme voilée.
Qu’une fédération de parents d’élèves banalise ce genre de messages et quelque part le valide et le légitime auprès des enfants est un véritable scandale !