Mais qui se cache derrière Alex Joubert ? Un vieux provocateur avide de notoriété qui se fait passer pour un jeune premier de la classe avec toutes les pierres que les autres gamins auraient envie de lui lancer ou un authentique et pathétique adolescent que certains parents en mal de réussite sociale sont capables de fabriquer et l’école de formater...
Je pencherais pour la première supposition car les articles produits par cette personne, ne transpirent d’aucune candeur, d’aucune poésie, d’aucune spontanéité, d’aucune intelligence, qui font la force de la jeunesse et suscitent l’espoir d’une génération future différente et meilleure, mais se veulent au contraire du bon ton suffisant caractéristique de « l’élite à la Française » à qui l’on apprend à s’exprimer sur tous les sujets sans jamais les maîtriser et qui n’a d’égale à son arrogance que l’abîme dans laquelle elle plonge jour après jour notre société et l’inamovibilité qu’elle cultive. Si je devais me trouver dans l’erreur, toutes mes condoléances à « Alex »... sachant qu’à cet âge rien n’est définitif et l’espoir encore permis.
Une petite recherche sur internet s’impose quand on ne connait pas le sujet !
« En revanche, la fraude fiscale est un délit pénal prononcé par le tribunal correctionnel à la suite d’une procédure judiciaire. Elle frappe les personnes qui ont tenté de se soustraire frauduleusement à l’impôt. Le terme frauduleux suppose que le contribuable a agi de manière totalement volontaire, consciente et intentionnelle. Dans la pratique, les condamnations sont rares (environ 1 000 par an). Elles sanctionnent essentiellement : les infractions graves (omission de plus de 100 000 € pour l’impôt sur le revenu, organisation de son insolvabilité, passation d’écritures fictives en comptabilité...), ou le caractère répété des redressements. Par exemple, une personne déjà redressée s’abstient de déposer ses déclarations de revenus les années suivantes. Quelles sanctions ? En plus des sanctions fiscales (supplément d’impôt, intérêts de retard et pénalités), le contribuable reconnu coupable de fraude fiscale risque : une amende maximale de 75 000 €, une peine de prison pouvant aller jusqu’à 5 ans fermes, rare dans la pratique, puisqu’il y a plutôt des peines de sursis avec mise à l’épreuve. Des peines complémentaires s’ajoutent très souvent comme, par exemple : l’obligation de publier, aux frais du condamné, le jugement dans 2 ou 3 journaux nationaux ; la perte des droits civiques pendant 5 à 10 ans. »
Vous devriez lire les commentaires précédents avant de poster, cela vous éviterait de répéter ce qui a déjà été écrit, de poster les mêmes liens... Essayer la prochaine fois d’apporter quelque chose de nouveau, qu’on ne sache déjà, une idée nouvelle...
L’un est chargé d’optimiser la collecte de l’impôt, l’autre est chargé d’y soustraire au mieux les avoirs de son client. Ajouter à cela la légion d’honneur que l’un remet à l’employeur de l’autre...
Les décideurs ne sont pas les payeurs. Les hommes politiques votent des lois par lesquelles il ne sont pas concernés et encore moins affectés. Ils forment de nouveau une véritable caste soudée malgré certaines apparences, et solidaire. Ils ne leur manque plus que les titres de noblesse et nous voilà revenu à la monarchie... Le pire, c’est que certains semblent ne pas en avoir réellement conscience. Faudra-t il une nouvelle révolution ?