Sûr que les roses ici ce n’est pas la vie. Aubry n’est pas le genre arbre à cames en tête. Elle change plutôt de braquet pour virevolter en tête d’un peloton de morts vivants ; peloton qui n’a ni queue ni tête. De toute façon l’idéal de gauche c’est pour quelques pinioufs comme nous qui sommes en dehors de l’espace du pouvoir et du temps des cerises.
Et oui ! Eros n’est plus la vie ! C’est vrai que les triples pénétrations ont l’arbre à camelote en tête de gondole. N’oublions pas que nous vivons dans une société pédophile. Sade, c’est comme la musique répétitive, cela n’intéresse que quelques pinioufs perdus dans les alcôves de l’espace temps.
La liberté d’expression est-elle un mythe ? Le trop d’expression ne noie-t-il pas le gosse qui dit que le roi est nu ? L’affairette Zémour n’est qu’une affairette d’ignorance. Lorsqu’on lit dans Marianne comment il s’est défendu, on peut dire qu’il y a comme un hic dans ses connaissances et manque de nunc dans sa conscience. A mon avis, pour faire dans la bouteiille à moitiée pleine, disons, innocemment, qu’il n’y a pas assez de baillons sur terre pour baillonner les humains. Tant il est vrai, comme j’aime le dire souvent : les conditions matérielles déterminent l’inconscience. Quand on voit ce qui va se passer dans l’audio visuel et le silence (euphémisme) de la gauche perdue dans ses guerres de religions, cela vous fiche un bon coup de goupillon sur la tronche. La France peu à peu devient une république banannière : elle est corrompue jusqu’à la moelle. Quant à la liberté des médias on peut dire que ce que nous subissons c’est une sodomie toute en finesse.
— Ah çà oui, vindieu-vinblanc-vinrouge ! une bonne vieille guerre purificatrice, ça nous fera pas d’mal. Y’a qu’ça pour planter du beurre en branche sur nos épinards.
On ne peut que saluer cet homme qui nous a fait en partie.
Son influence ne fait que commencer et le fil du linceul qu’il a tissé, comme celui des nazca ne devrait pas se casser de sitôt.