Raciste décomplexé depuis que j'ai pu comparer l'évolution des purs Aryens, par rapport à celle des Untermenschen de l'Est européen, méprisés, eux, par le Führer Adolf Hitler et les siens...
La ferveur d'un peuple
Manquent les deux derniers couplets (on se demande bien pourquoi)
Après quinze ans, percutés mais
superbes L’armée nous rend enfin à nos foyers Pour épouser une pucelle imberbe Avec laquelle il faudra procréer.
Intaï mot haï ba congaï annamit Lintaï (Bis)
Derrière la cabane bambou
Faï Faï mot Laï ba
Derrière la cabane bambou
Casser quiditt paye nam sous.
Oh Sa Oï mon capitaine, casser quiditt l’a pas payé.
Le soir des noces, à l’humble
créature
Nous lui dirons, va tourne moi le
dos Le cul vois tu c’est contre la nature Mais c’est si cher au coeur des
coloniaux.
Intaï mot haï ba congaï annamit Lintaï (Bis)
Derrière la cabane bambou
Faï Faï mot Laï ba
Derrière la cabane bambou
Casser quiditt paye nam sous.
Oh Sa Oï mon capitaine, casser quiditt l’a pas payé.
Et c’est signé : Careaufonce3
percuté mais superbe,
et dévasté par ma solitude, le délire, la haine de l’autre, ma petitesse, et
mes complexes.
« Désolé votre canal ne se déverse pas chez moi et nombre de sdf préfèreraient sans doute vivre sous le climat de notre île. Vous pouvez rester bien seul dans votre confortable garçonnière... »
C’était le jour de la femme de ménage philippine aujourd’hui. Elle m’a soufflé en me parlanr de ses lectures, de son intrérêt pour la psychologie. Elle m’a parlé de son divorce, à 36 ans, de son choix de faire des ménages pour pouvoir s’occuper mieux de ses deux enfants -. n’en croyez rien, j’invente à mesure.
« ... dans votre confortable garçonnière... »
Ce n’est pas une garçonnerie, c’est l’appartement de 80 m2, où nous avons vécu, ma femme et moi, les 12 dernières années de sa vie (2005-2017). Je conserve ses cendres et lorsque j’aurai à mon tour été incinéré, nous serons ensemble pour l’éternité — n’en croyez rien, j’invente à mesure.
« nous n’avons pas besoin de vos délires « nazillards ». »
En tant que raciste anti-Antiaryens, je me marre. Un truc que vous ne connaisset peutêtre pas dans votre île : les dragqueens de la Bundeswehr, fierté de la race des seigneurs, honte de l’Europe saine.
« Votre haine de « l’autre »... C’est plutôt du mépris. La haine est un sentiment puissant qui se mérite. Or, à leure actuelle, je ne vois pas de »méritant« , en étant incapable de répondre à la question »Qui ne supporterais-je pas de laisser vivant derrière moi en mourant moi-même ?« — n’en croyez rien, j’invente à mesure.
»...vous situe bien dans la catégorie des malheureux à plaindre, pas pour le fric visiblement mais pour la petitesse du personnage. "
Mais je cache admirablement mon jeu, en affichant 1.82 m et 130 kg.— n’en croyez rien, j’invente à mesure
« Vous devez être bien complexé, bien seul pour afficher un tel mépris des « autres ». »
A tel point que si j’ai un Colt 45 9 mm parabellum, je garde le fflingue à la maison et j’ai descendu les munitions à la cave. Je suis tellement feignant que les trois étages qui m’en séparent constituent mon assurance-vie.
« C’est qui les « vôtres », les cafards ? »
Dans notre langage codé — comme les Nazis — ma femme et moi disions scarafaggi, dans la langue de Dante. En Angleterre , l’excellente journaliste Kathy Hopkins dit cockroaches.
Cela dit, si je ne suis pas du tout celui que vouis croyez, en ce qui vous concerne, je vous tiens pour un loufoque, vu la couche que vous trimballez.
« Je crois d’ailleurs que c’est surtout au niveau des régions que le RIC pourrait être très utile... »
Mais plus encore sur les sujets de société :préférence nationale, répression pénale, mariage pour tous, immigration, asile, droit du sang, conditions d’acquisition de la nationalité, préservation de l’identité nationale, des coutumes et des traditions, etc., etc., etc.