Qu’on puisse se faire une idée, ça se passe comment, question niveau de vie et pouvoir d’achat, dans les pays où les richesses créées profitent au prolétariat ?
« au final, c’est quoi votre solution ? vu que historiquement aucune n’a marché. »
Ce
qui n’a pas marché, c’est surtout ce qui a eu la prétention de changer
la nature humaine. Ma solution passerait par la reconnaissance de son
existence, de ses travers, de ses limites, du poids de ses sentiments et
de son inconscient.
Reconnaissons humblement que nous ne sommes
ni rationnels ni raisonnables - si nous l’étions, nous gagnerions
certainement 25 à 30 ans d’espérance de vie, mais que l’existence serait
chiante - et essayons de nous doter de règles acceptées par la
majorité, en nous... émancipant de la tyrannie des minorités, qui est le
sida mental de la démocratie.
@nono le simplet "ne pas être raciste et sexiste ne sont pas les seuls critères pour être
un président « honorable » et respectable d’un grand pays démocratique
mais ce sont des critères « sine qua non » pour ne pas l’être ..."
Les choses changent, évoluent, se transforment... L’enjeu racial est l’une des grandes affaires de ce début de millénaire. L’enjeu est de savoir si ce monde, à terme, sera encore vivable pour les Blancs.
De ce point de vue, Trump n’est pas un accident, c’est une réaction. L’oligarchie, elle, l’a compris. D’où le lâcher finalement contre-productif de la meute des médias (194 des 200 principaux médias US pro-Clinton en 2016).
Avec un résultat en demi-teinte, puisque si la candidate démocrate à dépassé, au final, son adversaire républicain de 2.5 millions de voix, elle le doit à la seule Californie, où elle l’a emporté de 3.5 millions de voix (7’362’490 voix contre 3’916’209) Trump n’ayant pas jugé utile de faire campagne, dans cet Etat ingagnable pour le GOP, avec ses bastions bobos de Los Angeles et San Francisco
« La seule solution pour la religion est l’Anarchie, au sens noble du terme... »
L’Anarchie
au sens noble, ou au sens ignoble - ce qui revient au même - c’est la
loi du plus fort sans frein, puisqu’il n’y a plus du tout de lois pour
protéger les plus faibles, alors qu’il en subsiste tout de même
quelques-unes.
Croire que l’anarchie va supprimer les clivages
dominants/dominés, fortes/faibles personnalités, savants/ignorants est
tiré du même tonneau que l’illusion communiste.
La société sans
lois est celle où chacun bricole les siennes, en fonction de ses
intérêts, de ses penchants, de ses appétences, de ses instincts et de
ses vices. On y trouve même des pédophiles qui expliquent que les
enfants ont, eux aussi, droit à une sexualité épanouie, et que seuls des
adultes peuvent la leur dispenser