" On rit qu’un Noir se noie a Venise et voyez les événements en Caroline.
Est-on bien sûr qu’il ne reste pas trace de racisme dans l’équation de la politique mondiale ?"
Est-ce que vous croyez sérieusement qu’on change la nature humaine avec des articles, des discours et des lois ?
Albert Memmi, dans la définition du racisme qu’il a rédigée pour l’Encyclopedia Universalis, écrit que c’est le racisme, qui est naturel, pas l’antiracisme.
Il n’ose pas franchir le dernier pas et observer que l’antiracisme est une posture intellectuelle, mais n’importe qui peut le faire à sa place.
Ils l’oublient tous ! Parce qu’ils se proclament « citoyens du monde », ils croient que le monde entier va les recevoir à bras ouverts.Mais ceux qui ne les virent pas avec pertes et fracas, se paient tout simplement leurs tronches.
Il faudra que notre ami bibou1324 choisissent soigneusement le pays où il ira tenter de faire le « globalisé », parce qu’il y a bien des endroits de la planète ou on lui dira :
« Je n’ai pas parlé d’Assemblée populaire au singulier mais d’Assemblées populaires au pluriel... »
Ca, j’avais compris, mais il y a bien une taille idéale, au sein de laquelle l’individu sans envergure, n’est plus qu’un automate à lever le bras, quand il voit les autres lever le bras,
"Robert Michels qui stigmatisait la tendance lourde au sein de toute
organisation à la création d’une oligarchie dirigeante devenant
exploiteuse à terme..."
Ce n’est pas une tendance, c’est une simple manifestation du clivage dominants/dominés, que l’on retrouve dès l’instant que deux personnes sont ensembles.
On l’observe au sein du couple, et quand le couple est formé de deux dominés incapables de s’imposer l’un à l’autre, c’est alors le gosse qui, subconsciemment, comprend le profit qu’il peut tirer du rôle de dominant. Il devient un enfant tyran.
Et comme ce clivage est inhérent à la nature humaine, rien ni personne ne pourra jamais en venir à bout, si ce n’est la chimie dans un meilleur des mondes quelconque.