1°L’émission était une invitation
officielle pour Marine Le Pen. Mélenchon n’était qu’une pièce
rapportée.
2° Bien avant l’émission -des jours avant-,
Marine avait prévenu Fr2 qu’elle ne parlerait pas à
Mélenchon.
3°Mélenchon a pu entendre Marine Le Pen
expliquer à Pujadas, son mécontentement au sujet de sa présence
non désirée.
4°Tout le microcosme journalistique parisien
savait que Marie Le Pen et Mélenchon avaient déjà échangés
ensembles, et que Mélenchon avait insulté Marine Le Pen.
5°On accuse Marine Le Pen d’avoir été
« lâche » d’être restée présente mais silencieuse.
Alors imaginez 5 mn, si Marine Le Pen avait seulement esquissé
l’envie de quitter le plateau. Tels des hyènes, vous, ces
contradicteurs, vous vous seriez repus de cette action
d’irresponsable, bla, bla,bla...
En conclusion, s’il y avait
une personne qui devait quitter le plateau, c’était Mélenchon qui
n’était pas le bien venu.
P.S.
Souvenez vous en 2002 : Le
président-candidat a annoncé mardi soir lors de son meeting à
Rennes qu’il ne participerait pas à un débat télévisé face à Le
Pen.
1°L’émission était une invitation
officielle pour Marine Le Pen. Mélenchon n’était qu’une pièce
rapportée.
2° Bien avant l’émission -des jours avant-,
Marine avait prévenu Fr2 qu’elle ne parlerait pas à
Mélenchon.
3°Mélenchon a pu entendre Marine Le Pen
expliquer à Pujadas, son mécontentement au sujet de sa présence
non désirée.
4°Tout le microcosme journalistique parisien
savait que Marie Le Pen et Mélenchon avaient déjà échangés
ensembles, et que Mélenchon avait insulté Marine Le Pen.
5°On accuse Marine Le Pen d’avoir été
« lâche » d’être restée présente mais silencieuse.
Alors imaginez 5 mn, si Marine Le Pen avait seulement esquissé
l’envie de quitter le plateau. Tels des hyènes, vous, ces
contradicteurs, vous vous seriez repus de cette action
d’irresponsable, bla, bla,bla...
En conclusion, s’il y avait
une personne qui devait quitter le plateau, c’était Mélenchon qui
n’était pas le bien venu.
P.S.
Souvenez vous en 2002 : Le
président-candidat a annoncé mardi soir lors de son meeting à
Rennes qu’il ne participerait pas à un débat télévisé face à Le
Pen.
Oui, Marine est la seule personne dans cette arène politique, chez qui il émane une réelle sincérité. Et contre cela, il est quasiment impossible de lutter, si l’on est seulement dans cette arène que pour y jouer le jeu de l’Ego.
Pendant ce soi disant faux débat, -pour moi, il y a eu un débat, mais invisible pour la pensée grossière-, Marine pu expliquer clairement à Pujadas sa position. Mélenchon pouvait distinctement entendre ses explications. Marine a su rester stoïque lorsque Mélenchon parlait, mais lui-même était complètement hystérique, incontrôlable, devant cette tranquillité qui lui faisait face.
Cela semble anecdotique, mais entre les deux, c’est la force intérieure qui fît la différence entre l’énervement et la sérénité.
Marine est très loin devant ce Monsieur... très, très loin devant l’horizon... tout en étant bien ancrée dans la situation présente.
En fait, en conclusion de ce que je
viens de lire, la majorité des commentaires sanctionnent le silence
de Marine Le Pen. Qui dit que le silence n’est pas un argument.
Plongés comme nous le sommes dans une logorrhée hyper médiatique, à
aucun moment nous ne supportons, et n’acceptons le refus du dialogue
comme un moyen d’expression.
Personne ne reproche à Mélenchon ses
insultes et la faiblesse psychologique que celles-ci représente.
Car comme tout le monde se gausse de le dire, dans les diners
mondains : « A mais quant-on en est à insulter l’autre,
c’est que l’on a plus rien à dire . »
Mais tout le monde reproche à Marine
Le Pen son silence, qui lui est justement qualifié par les tenant de
la précédente formule, comme étant « d’Or ».
Donc selon ce qui nous arrange, ce qui
était d’or hier, se transforme en lâcheté aujourd’hui.
Méfions-nous. A hurler avec les loups, nous risquons de très vite
perdre notre sens de l’écoute, du bon sens et de devenir de
lyncheurs. Et de ce fait, être les jouets de ceux qui tiennent
réellement les rênes du pouvoir, mais que nous ne connaissons pas
et ne voyons pas. Vous savez, ceux que l’on appelle « les
marchés financiers ».