@ B.Dugué
Ne pas oublier Raymond Moody qui écrivit en 1975 "La vie après la vie", mais aussi Elisabeth Kubbler -Ross. Aujourd’hui nous avons des écrivains mystiques qui témoignent de ces états de conscience. Sans doute, les hommes et la science non dogmatique sont mûrs pour faire un pas de plus vers la compréhension de phénomènes qui concernent l’ensemble de l’humanité. Des bouleversements en perspective !!
La crise est finie (crise du nerf de la guerre), et la dépression fait suite, tôt ou tard, c’est la loi de cause à effet. Heureusement, les médecins de la finance mondiale et du monde politique sont là et vont nous administrer des anxiolytiques, car comme chacun sait, il est plus facile de traiter les effets plutôt que de s’attaquer aux racines ou aux causes du mal, mais il est vrai aussi qu’ils n’ont pas prononcé le serment d’hyppocrate ! .
En effet, l’auteur a raison de parler du réveil spirituel de l’humanité, ce ne sera pas simplement un pétard mouillé !
Prise de conscience magistrale de la perversité de notre système, merci chère Monolecte. Espérons que la contagion se répande telle une épidémie sur tout le globe.
C’est une crise financière sans surprise et comparable à celle de 1929 dans son ampleur. A qui profitera la crise cette fois ci, aux mêmes sans doute, puisque les dés sont pipés dès le départ. N’attendons donc pas que les pseudo gendarmes de la finance verbalisent les coupables puisque les responsabilités sont diluées à plusieurs niveaux ( banque, politique et économique ). C’est donc une fuite en avant je pense, et on devra sans doute expérimenter jusqu’au bout ce système pervers du "toujours plus de profit" ou de "crédit" selon la place qu’on occupe, avant qu’il y ait vraiment un réveil, puisqu’on le cautionne d’une certaine manière à un moment ou à un autre. Si on avait vécu à cette époque ( 1929) nous n’aurions pu qu’assister, impuissants, à cette crise, la subir de plein fouet, parce que mal informés. Par contre aujourd’hui, nous sommes surinformés : informés d’une part par les grands media (Reuters, AFP... la pensée unique) , et d’autre part par internet ( avalanche d’informations ou de désinformations, mais liberté d’expression, d’où la confusion à l’heure actuelle). A la différence de 1929, chacun assiste "en live" à l’effondrement d’un système et peut le commenter mais le coupable n’est pas clairement désigné.
Bien @ vous