Et non cher ami, tout faux le parallele n est pas possible.
En effet le francais au Quebec et la langue nationale et une des langues officielles, pas comparable a vos examples.
Chaque cas est particulier et il merite une reflexion approfondie justement pour eviter ce genre d amalgame. Je concois fort bien les interrogations et peur meme de l auteur. Elle me semble plus saine que ce genre de reactions justement.
Je ne suis pas quebecois, je ne veux aller nulle part.
De ce que j en sais, leur gageure est de maintenir leur culture specifique face au Canada anglais et aux USA tout proche.
Pas facile sachant que l immigration est a majorite non-francophone. Comment garder son identite sans se replier ou sans se faire « bouffer ».
Un juste equilibre est a trouve, mais malheureusement ce genre de decisions ne donnent que des resultats a long terme qui sont irremediables.
Je ne suis pas sur que vous ayez correctement lu l article.
Ce qui est propose n est pas l abandon de l apprentissage de l anglais, mais la preeminance du francais pour les immigrants du Quebec.
Pour aller dans le meme sens, ma propre experience du conseiller d orientation est plutot desastreuse.
Selon les tests bien pensant de l epoque je n etais pas bon a faire grand chose, et surtout pas d etudes longues...
Ca doit etre ce qui ma convaincu de faire un doctorat.