Sur ce site il est possible de visionner les 23 films d’Hitchcock (sur la cinquantaine réalisés) actuellement tombés dans le domaine public : http://www.openculture.com/free_hitchcock_movies_online . Hitchcock a longtemps été cantonné dans la catégorie des faiseurs de succès, reconnu comme réalisateur efficace, le meilleur des techniciens - mais sans plus (il me semble qu’il n’a d’ailleurs jamais remporté d’oscar). . C’est tardivement que le domaine de la critique s’est intéressé à la part de l’« auteur » dans ses réalisations. . Qu’on aime ou n’aime pas ses films, Hitchcock est indéniablement un grand réalisateur, tellement le travail de la forme (une composition d’image hypertravaillée) est chez lui au service du fond (pas tant l’histoire elle-même que les émotions produites par les interactions des personnages). . Merci pour cet article.
@philippe913 « Mais sinon, vous qui êtes si érudit, expliquez moi un peu quels sont les autres objectifs d’une entreprise ? » . Se perpétuer. Et cela peut demander que les propriétaires se serrent la ceinture. Ce qui veut bien dire que l’enrichissement des proprio est secondaire. . Et je n’ai jamais dit que j’étais érudit. J’ai dit que vous ne l’étiez pas. Alors que vous vous donniez toute la hauteur méprisante de celui qui prétend l’être.
@titi « C’est sûr qu’on ne peut pas vendre un produit qui n’est pas fabriqué. Mais on ne peut pas vivre en fabricant un produit qui n’est pas vendu. Et aujourd’hui il y a sur la planète plus de gens capables de les fabriquer que de les vendre. » . Oui. . J’en ai contre les discours qui confondent opportunément le concept comptable de coût, le montantà soustraire d’un total, et le coût en tant que « charge », « poids ». Parler de salariés comme de « charges » pour l’entreprise - alors qu’une entreprise sans salarié n’entreprend tout simplement rien du tout - est totalement absurde. Cette confusion est bien pratique pour tous les idéologues du dégraissage qui ne considèrent que la part des profits à remonter en dividendes, sur le dos de l’entreprise.