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Christine

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Une personne ordinaire avec des opinions sur plusieurs sujets.

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Derniers commentaires



  • Christine Christine 26 février 2012 09:07

    Merci pour cet article, Gérard. J’ai fait le même genre d’expérience au Cameroun.



  • Christine Christine 4 janvier 2012 15:14

    Rien que l’horreur des élevages industriels et les maladies graves qu’engendre la consommation de cette viande pourrie déjà sur l’animal élevé industriellement (= pratiquement tout ce qu’on trouve sur le marché) devrait faire réfléchir les carnivores.

    Une pensée positive : les carnivores mourront  de leurs maladies bien avant les végétariens !



  • Christine Christine 1er septembre 2011 20:07

    Oui, je le vois un peu comme Bertrand aussi.

    Ce sont après tout les femmes qui se présentent comme un « produit de consommation » à un étalage, qui se parfument, se maquillent et s’habillent de manière à attirer l’oeil des hommes, qui rivalisent avec leurs copines - surtout à l’adolescence et dans les premières années de l’âge adulte.

    Ce sont aussi les femmes qui choisissent l’emballage dans lequel elles se présentent comme « produit de consommation ». Et elles doivent le savoir ... ou bien font-elles les hypocrites ?

    Si quelqu’un dévalorise la femme dans la vie courante (je n’y mêle pas le monde spécial de la porno), c’est bien elle-même. 



  • Christine Christine 1er septembre 2011 19:57

    Je ne vois pas le besoin ou la pratique de l’épilation comme un manque de liberté.


    C’est surtout une question personnelle d’esthétique, de bien-être et d’hygiène, de respect personnel aussi, de la même manière qu’on ne sort pas en pyjama, ni en pantoufles éculées, ni les cheveux gras et pas lavés pendant 4 jours, ni avec des vêtements déchirés et tachés.

    On se respecte et on se présente du mieux qu’on peut par respect pour soi-même d’abord.

    On ne va pas non plus à une entrevue à un job en jeans sale et chaussettes trouées dans de vieilles sandales. Ce n’est pas par manque de liberté, mais pas respect pour soi-même et pour se présenter sous un aspect engageant.

    Nous avons tous plusieurs facettes de nous-mêmes, et nous ne les montrons pas toutes en même temps, ni à tout le monde. Nous avons le droit, sans que cela ne soit une question de manque de liberté, de choisir la facette que nous montrons dans certaines circonstances et à qui nous la montrons. Nous nous comportons différemment au boulot et quand nous jouons avec nos enfants, en ville ou en vacances. C’est normal. C’est naturel. Ça ne fait atteinte à aucune liberté et il n’y a aucune contrainte. C’est au contraire un choix que nous avons, donc une plus grande liberté, au lieu d’avoir à montrer toujours le même aspect de nous-mêmes.

    Je conçois que certaines femmes puissent le percevoir comme un manque de liberté, mais il s’agit de personnes peu sûres d’elles et qui se croient obligées de se conformer à un code quelconque de peur de ne pas être acceptées.

    Je ne suis pas du tout d’accord sur le fait que "la majorité des femmes qui s’épilent (et presque toutes celles qui se rasent) ne le font que l’été". Soit il s’agit d’un phénomène typiquement français (j’habite en Scandinavie), soit ce phénomène se manifeste plus particulièrement dans le cercle que l’auteur fréquente. Dans mon expérience, c’est toute l’année qu’on s’épile ou se rase (ou qu’on ne fait ni l’un ni l’autre si c’est ce qu’on a choisi), indépendamment des saisons. C’est une question de bien-être et d’hygiène personnelle, tout comme on se douche tous les jours, indépendamment de ses sorties.

    Je comprends très bien qu’un article ne puisse qu’être écrit en fonction de son expérience personnelle, mais il ne faudrait pas en faire un phénomène universel, ni attribuer ceci à un conformisme qui laisse les femmes sans choix. C’est mal les connaître !

    Ceci est juste mon opinion personnelle basée sur mon expérience personnelle qui semble être très différente de celle de l’auteur.

    Dernière remarque : on dit « le qu’en dira-t-on » et non « le quand dira-t-on ». La réponse à « Qu’en dira-t-on ? » est bien : « On en dira » et non « On quand dira ».

    Sinon, merci pour l’article qui permet de réfléchir sur sa justesse selon les milieux fréquentés.



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