Voilà qui me rappelle le déclaration d’un ancien dirigeant de société pharmaceutique américaine (si, pour être plus précis, quelqu’un pouvait me rafraîchir la mémoire sur cette société) qui disait qu’un de leurs objectifs était de vendre des médicaments à des gens en bonne santé.
« Tout va très bien pour les riches dans ce pays, nous n’avons jamais été aussi prospères. C’est une guerre de classes, et c’est ma classe qui est en train de gagner »
Loin de nous de nous réjouir du licenciement de 433 personnes qui à mon sens ne sont que des victimes colatérales, mais c’est un soulagement de savoir que la déchéance sociale (et familliale) de centaines de milliers de français est quelque peu ralentie du fait d’un moindre recours à cet infâme crédit « revolving » qui ne profite qu’à quelques usuriers et actionnaires, lesquels avaient (et ont encore) la bénédiction du pouvoir en place.
Dans le même registre, on pourrait encore disserter sur l’opportunité de l’industrie de l’armement et de celle du tabac, par exemple.
Si la précipitation sur le navire fut légitime au moment du crash, elle est néanmoins inadaptée dans la médiatisation de l’évènement. Il nous faut attendre sereinement le résultat de l’enquête avant de jeter en pâture certains acteurs de l’accident.
Cet article bien documenté nous porte à réfléchir sur l’oportunité de l’optimisation des coûts et par ailleurs,dans le même chapitre, vous voudrez bien m’excuser d’évoquer le cas de l’airbus A380 capable de transporter jusqu’à 850 passagers d’un seul jet.
Le problème, c’est que ce genre d’individu, avec leur « grosse tête » pétrie de principes bourgeois, ne sont pas représentatifs des 99%, mais plutôt du 1% du Fouquest’s club. Ils vivent en dehors du monde indigne des 99% qu’il ne peuvent comprendre. Avec des revenus moyens équivalents à une vingtaine de RSA, ils se contentent de disserter sur le cancer de l’assistanat et considèrent les chômeurs comme des fautifs.