• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

clément dousset

clément dousset

un citoyen qui a souci de faire entendre son opinion

Tableau de bord

  • Premier article le 03/08/2015
  • Modérateur depuis le 18/02/2016
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 14 148 709
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 46 20 26
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • clément dousset clément dousset 16 mai 2017 11:10

    @Raoul-Henri

    Vous avez tort de dire que pour moi la douleur « mènerait à la conscience ». La douleur pour moi ne mène pas à la conscience. Elle est dans la conscience. Si dans un agrégat de matière vivante, quelque part, ça a mal, ça a de la conscience. Et si ça n’a pas mal, si ça ne peut pas avoir mal (ou avoir du plaisir bien sûr !), ça n’a pas de conscience. Après vous pouvez faire de la conscience ce que vous voudrez, je vous la laisse. Pour moi l’important c’est de décider d’un seuil. un seuil où apparaît un sujet. Si ça a mal, y a forcément un je qui a mal. Le sujet ne peut pas exister avant que quelque chose soit senti et il existe nécessairement après que quelque chose est senti. Pourquoi, comment va jaillir de la matière obscure, brutalement, comme par une transition de phase, la substance du senti, voilà ce qui m’intéresse. Là on est dans le simple, je vous l’accorde, le très simple. Mais pensons d’abord le très simple et puis on verra après. Pour penser la matière, il faut d’abord penser l’élémentaire de la particule. Souffrance, plaisir, désir, effort c’est l’élémentaire de la conscience à penser et dont il faut chercher l’origine.


  • clément dousset clément dousset 16 mai 2017 06:02

    @abcd

    Lorsque vous mettez la main sur une plaque brûlante, vous n’avez pas besoin d’avoir la mémoire d’une brûlure pour ressentir le mal-être qui vous fait hurler de douleur. Pour prendre conscience que ce mal-être est une brûlure et pas une griffure, certes là vous avez besoin de la mémoire. La mémoire est nécessaire pour que notre prise de conscience s’accompagne d’une représentation et plus tard d’une dénomination de ce qu’on ressent. Mais s’il n’y a jamais à un moment donné des affects premiers, la mémoire nous renvoie à un puits sans fond de la conscience et fait de son origine un mystère impénétrable. C’est ensuite la modulation dans le temps de ces affects premiers qui constitueront la particularité des sensations....


  • clément dousset clément dousset 16 mai 2017 05:42

    @Ciriaco
    une structure neuronale qui serait une « proto-représentation du danger » ! j’avoue que je comprends mal. En tout cas cela ne m’aide pas du tout à entrer dans la réalité et la substance de la conscience. Le mot représentation implique l’existence préexistante d’une conscience et ne permet pas d’appréhender la modalité de son surgissement. Pour cela il faut partir comme je le fais des affects premiers dans leur substance brute et comprendre comment cette substance brute peut jaillir de la matière. Tout le reste est littérature.



  • clément dousset clément dousset 9 mars 2017 16:49

    @alain_àààé

    Apparemment, Monsieur, vous avez beaucoup de choses à dire. Mais, pour ce qui est de les écrire, peut-être pourriez-vous prendre conseil de votre entourage afin de nous les rendre accessibles...


  • clément dousset clément dousset 21 février 2017 07:48

    Merci pour ce bel article qui assène tant de vérités pénibles à entendre mais nécessaires à dire. Les réactions d’une flopée de racistes montrent combien vous avez touché juste.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv