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Institut Proudhon

Institut Proudhon

L'Institut Proudhon est un cercle de réflexion dissident dont le but est d'établir une convergence entre les valeurs civilisationnelles de droite et les valeurs sociales de gauche. Composé de citoyens issus de secteurs stratégiques de la société civile et tournés vers la défense des Français de classes populaires et moyennes. notre think tank est résolument anti-élitiste au sens où la seule "élite" acceptable pour nous est celle qui procède du mérite et non de la naissance, du réseau ou de la fortune.
Nous souhaitons l'instauration d'une démocratie directe purgée de l'entre-soi, des lobbys et des conflits d'intérêts, fondée sur la souveraineté citoyenne.
Parmi nos propositions figurent : la décentralisation, la suppression de la haute fonction publique, le RIC, le suffrage proportionnel, l'élection des magistrats, l'instauration des mandats impératifs, la sortie de l'OTAN, la création d'une Europe des nations respectueuse de ses peuples, le rapprochement avec les BRICS, la fin des flux migratoires légaux et illégaux, la fin de l'auto-flagellation, du wokisme culturel et de la tyrannie des minorités, la reconnaissance des langues régionales, le retour de l'école méritocratique, une liberté d'expression accrue pour tous les citoyens et spécialement pour les historiens, la valorisation de l'artisanat et de l'agriculture, la reconnaissance des mères au foyer, une politique familiale forte et la valorisation des racines historiques de la France dans toute sa diversité : grecques, romaines, celtiques, germaniques, chrétiennes, révolutionnaires...
Nous sommes également faovrables à une politique sécuritaire qui assure le bien-vivre des citoyens et met hors de la société les éléments perturbateurs sans leur chercher d'excuses ni minimiser leurs actes par des motifs sociolo-historiques infantilisants. L'extension du domaine de la légitime défense et le port d'arme citoyen, encadré, nous semblent également à même de favoriser la paix publique et de dissuader les fauteurs de trouble.
Sur le volet économique, nous souhaitons une justice sociale accrue en faveur des classes populaires et moyennes. Cette recherche de justice sociale, qui était le motif prinicpal de la révolte des Gilets Jaunes, n'a pas été entendue par le pouvoir ; si bien que l'état économique des classes populaires et moyennes est pis encore qu'en 2018. Face aux appétits voraces de la finance internationale, aux dépenses exorbitantes liées à l'immigration et à la gabegie de notre budget par un État sclérosé, il nous semble impératif de mettre en place un modèle social tourné vers les travailleurs et priorisant les citoyens. Le retour de l'ISF, la taxation des multinationales, la priorité citoyenne aux logements sociaux et aux aides ainsi que la défense du service public et de la retraite à 60 ans nous semblent être des idées saines pour un pays sain, de même qu'une lutte accrue contre l'évasion fiscale, la fraude sociale et les dépenses publiques inutiles (subventions aux associations et à la presse, rémunération des politiques et des hauts fonctionnaires, etc.). La défense des petits commerçants et artisans ainsi que des agriculteurs et des TPE-PME est un impératif économique et moral.
Il nous semble en effet que le souverainisme politique, le conservatisme moral et le socialisme économique, loin d'être incompatibles, sont des compléments nécessaires l'un de l'autre. Et il nous semble bien étrange qu'aucun parti ne défende ce triptyque sur l'échiquier politique français lequel se réduit à une joute entre une gauche certes sociale mais woke et une droite certes patriote mais libérale.
Bien qu'impliqués dans la vie de la Cité, nous nous définissons comme non-politiques dans la mesure où nous ne sommes affiliés à aucun mouvement ou courant politique et que nos membres sont issus d'horizons divers, avec pour socle commun la défense du peuple face aux groupes dominants et la sauvegarde d'une France souveraine face au mondialisme. En outre, récusons l'utilité de l'activisme politique ; il nous semble, à l'instar de Grammsci, que la clé d'une victoire politique est une victoire culturelle préalable. Aussi, 
Pour toute question ou proposition, vous pouvez nous contacter sur notre adresse e-mail : [email protected]

Tableau de bord

  • Premier article le 28/03/2023
  • Modérateur depuis le 17/04/2023
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Derniers commentaires



  • Institut Proudhon Collectif-Rougenoir 8 août 2023 16:13

    Mais ne pensez-vous pas que la violence d’en bas nourrit celle d’en haut ? S’en prendre frontalement à un flic, à un élu ou à toute personne dépositaire de « l’autorité publique » ne ferait que donner une raison légitime à l’Etat pour accroître sa répression. Et puis, il y a aussi des policiers, des militaires et hauts fonctionnaires qui sont tout aussi mécontents que nous du Système, mais ls sont obligés de servir pour des raisons substantielles. Il ne faut pas omettre cet aspect. Devoir choisir entre ses idéaux et nourrir sa famille, cela est plus aisé en paroles qu’en actes.

    Plutôt que la violence politique, qui n’aurait pour seule vertu que de nous dévoiler comme adversaires du régime et partant de nous mettre au ban de la société, n’est-il pas préférable de faire de l’entrisme ? S’insinuer dans le Système pour le saborder de l’intérieur. Peu héroïque, certes, mais bougrement efficace.

    Regardez l’extrême-gauche : quasi inexistante sur le plan électoral, elle règne en maître sur le monde de l’enseignement, de la culture et une partie des médias. C’est grâce à un travail patient de longue haleine qu’elle est parvenue à faire de ces secteurs des bastions de son idéologie. La droite sauce Bolloré est en train de les imiter, avec un demi-siècle de retard, en tentant à son tour de tisser un réseau dans les secteurs d’influence. Peut-être que les vrais dissidents (ceux qui ne veulent ni du wokisme, ni du zemmourisme, ni du NWO, et qui aspirent simplement à vivre libres) devraient en prendre de la graine et s’inspirer de leur stratégie.



  • Institut Proudhon Collectif-Rougenoir 8 août 2023 12:23

    Bonjour @charlyposte,

    Faudrait-il encore que la victime se considère comme telle. Lorsque celle-ci a intériorisé son abus, voire qu’elle en nie le caractère criminel et qu’elle le revendique comme une chose normale, cela devient beaucoup plus délicat, tant sa psyché est profondément atteinte : il y a, quelque part, une dissociaton d’avec la réalité. De victime, une telle personne peut vite devenir bourreau, a fortiori si elle parvient à un poste de grande responsabilité. Heureusement, ce sont là de pures hypothèses et il n’y a aucun cas réel qui corresponde à un tel schéma... N’est-ce pas ? :)



  • Institut Proudhon Collectif-Rougenoir 17 avril 2023 18:23

    @spiritwalker

    Votre commentaire révèle les fractures profondes qui divisent la société française, voire occidentale, à la grande satisfaction des élites.

     

    Les questions de « race », de genre, d’orientation sexuelle etc. sont avant tout des cache-misères pour masquer la seule véritable oppression : l’oppression sociale.

     

    De ce point de vue, nationalistes comme antiracistes, féministes comme masculinistes, sont des idiots utiles au service du Système puisqu’ils se déchirent entre prolétaires tandis que les élites se gobergent impunément. Aux Etats-Unis, il est de notoriété publique que les BLM et les Proud Boys sont tous deux financés par des milliardaires. Et au lieu de se tourner contre ces derniers, ils préfèrent se taper dessus entre eux.

     

    Un véritable mouvement révolutionnaire est effectivement pour l’émancipation, il condamnera le racisme et le sexisme comme formes d’oppression contraires à la dignité humaine, mais il appréhendera ces personnes comme membres d’un prolétariat oppressé au lieu de es ramener à leur essence de minorités et de dilluer ainsi la lutte. Une millionnaire noire et homosexuelle est tout autant un ennemi de classe que le serait un "mâle blanc cisgenre" de la même classe sociale, ce que la gauche actuelle a bien du mal à comprendre. Et ce n’est pas mieux à droite : il n’y a qu’à voir l’engouement pour les médias du milliardaire Bolloré ou la firme familiale du RN.


    Tout le mauvais génie des élites est d’avoir persuadé les gens qu’ils doivent se battre pour leur appartenance communautaire plutôt que pour leur classe sociale. Un jeune Noir de Détroit sera ainsi persuadé que son voisin blanc Bill qui trime à l’usine est un oppresseur et que des multimillionnaires comme Oprah Winfrey et Meghan Markle sont des opprimées comme lui. Et Bill, lui, sera persuadé que le milliardaire Trump sert ses intérêts et que son voisin noir est un ennemi. C’est sur ces haines essentialistes que prospèrent les élites. L’un des rares qui a vu l’entourloupe est Kanye West, regardez comment il a fini… Cet acharnement montre bien que les élites veulent maintenir les luttes essentialistes pour mieux faire oublier leur joug aux prolétaires et éviter une révolution.

     

    Tant qu’on n’aura pas réalisé l’inanité de ces luttes particulières au profit de l’intérêt général des pauvres de tous horizons, il n’y aura pas de lutte collective contre l’élite.



  • Institut Proudhon Collectif-Rougenoir 13 avril 2023 20:54

    Bonjour @Fergus. Nous sommes convaincus que si une grève générale transpartisane, regroupant les travailleurs de tous les secteurs, mais aussi les étudiants, les retraités et les chômeurs se mettait en place, on aurait la Macronie à l’usure au bout de quelques semaines, à coups de blocages, de sit-ins et de manifestations qui paralyseraient la vie économique du pays. L’échec n’est pas, selon nous, dans cette stratégie de la grève générale, mais plutôt dans le manque de volonté pour la mettre en place. Les clivages sont tels dans le pays (gauche / droite, privé / public, conservateurs / progressistes, etc.), souvent inventés de toutes pièces par le pouvoir et les lobbys pour mieux diviser, qu’une telle union populaire relève hélas de l’utopie. Nous en avons bien conscience. Il ne s’agit bien sûr pas d’hypocrisie de notre part : nous croyons sincèrement à l’efficacité de la grève générale et nous la souhaitons de tout coeur, mais nous avons le réalisme de constater que celle-ci ne se fera probablement pas, faute d’un réveil général qui en est le prélude nécessaire. L’objet d’un prochain article de notre collectif est précisément de décrire la stratégie du « harcèlement » du pouvoir dont vous parlez, en cas de validation même partielle de la loi. Mais il s’agit selon nous d’un pis-aller : faute de pouvoir fédérer suffisamment les Français pour organiser une grève générale, il faut à tout le moins se tourner vers cette stratégie d’actions ciblées.

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