La page n’est pas tournée, malheureusement, le gouvernement revient à la charge sur le covid avec le même message et les mêmes méthodes (cf E. Borne). C’est du négationnisme. Aucune voix scientifique non conforme idéologiquement n’a été écoutée, voir entendue pendant ces deux années. Maintenant, comment la population française va-t-elle réagir, car cette fois c’est elle qui a la balle, suite aux nombreuses études sur la vaccination covid faites et rendues publiques, sur ses effets secondaires dramatiques, ou sur la collusion démontrée entre les états, les cabinets conseils, et les laboratoires.
Je ne suis pas optimiste, les médias majoritaires en audience, devenus outils de propagande gouvernementale, vont continuer à mentir ouvertement pour « mériter » leurs subventions.
Il aurait été plus honnête dans cet article de dire pourquoi cette mère a perdu la garde de ses enfants. Par contre, il est vrai qu’en matière d’affaire familiale, aucune preuve n’est demandée, et que les avocats n’hésitent pas à raconter n’importe quoi pour « mériter » leurs honoraires prohibitifs. Beaucoup n’ont aucune empathie pour la partie adverse. Et il y a un vrai problème avec les Juges aux Affaires Familiales, qui eux n’écoutent guère plus les avocats que les parents et les enfants. Combien de jugements sont complètement aberrants ? Il suffit de demander autour de soi.
Vous pourriez aussi faire un article sur ces très nombreux pères privés de voir leurs enfants et de participer à leur éducation simplement parce que la mère ne veut pas malgré les obligations du jugement et contre lesquelles la justice ne prend des mesures qu’au bout de très nombreuses années, malgré la souffrance des enfants.
Article complètement nul qui fait volontairement la confusion entre un jeu stupide et sanguinaire, la corrida, tradition espagnole et non française, et des croyances spirituelles, certes tout aussi stupides. C’est deux problèmes complètement différents, et les rapprocher n’est qu’une manière déguisée de dire sa haine des religions juives et musulmanes. Par ailleurs, je rappelle que la prise en compte de la souffrance animale dans les abattoirs en France est très récente mais l’auteur n’a jamais dû se demander comment était saigné le porc qui lui a fourni le boudin noir qu’il a dans son assiette.