@PascalDemoriane Entièrement d’accord avec vous, l’audiovisuel public est une usine de propagande et désinformation qui n’a pas à être financé par le contribuable, surtout pour verser des salaires mirobolants à des charlots écervelés. D’autant qu’il n’est même pas moteur pour l’industrie audiovisuelle française, puisque les produits fabriqués sont souvent invendables à l’international. Et de toute manière, cela répond à la volonté gouvernementale de tout privatiser, afin de diminuer les charges de l’Etat ( en théorie, les budgets affectés étant remplacés par des subventions aux entreprises privées) tout en gardant un contrôle sur le contenu par collusion entre les dirigeants des élites politiques et entrepreneuriales. Public ou privé, cela ne changera rien puisqu’il il y belle lurette que « l’audiovisuel public » ne joue plus son rôle démocratique d’ouverture et d’accession par tous aux idées de tous.
d’une nullité sans limite en terme de diplomatie et de gestion des affaires extérieures. Son dernier mandat le fera se ridiculiser comme durant le premier (Mali, Liban,...). Il croit que tout se règle à coup de com’, de frime à la bidochon, mais il ferait même rire mon teckel s’il l’engueulait. Et lui aussi ne se retournerait pas s’il l’interpellait, tout comme Jo Biden au G7. Quelle honte cette séquence de com à deux balles, pour notre pays ! Une idée Mc Kinsey ou une initiative personnelle ? Pitoyable en tout cas. Comme les embrassades avec le sulfureux Zélenski, dont je ne suis qu’à peine remis. Mais, malheureusement, en politique non plus, le ridicule ne tue pas.
@Jean J. MOUROT Il y a déjà longtemps que Joffrin est sénile, sûrement après avoir trop tourné sa veste intellectuellement. Il est très mal placé pour donner des leçons de républicanisme, lui dont seule l’idéologie du moment
(un tantinet « branchée » quand même, on est parisien ou pas) dirige ses éditos. La république, comme pour beaucoup, c’est comme ça l’arrange.
Une république se définit par sa Constitution. Chez nous, c’est un système parlementaire qu’un seul ne respecte pas : Macron. Il est le seul anti-républicain des partis dits de gouvernement. Il suffit de voir combien ne pas avoir de majorité absolue à l’Assemblée génère la panique chez LREM, après l’épisode covid où le fonctionnement démocratique a été piétiné.