Excellent et le problème est : défaut or not défaut mais mon colonel c’est seulement un défaut PARTIEL Voilà le point foireux juridique auquel ils ont planché HE HE HE
De toute façon nous sommes ruinés si on tient compte de l’exposition des banques européennes au secteur privé (particuliers et entreprises), des créances privées pourries à cause de l’effondrement de l’industrie occidentale, créances dont le risque super-sénior n’a jamais et ne peut être couvert. Et ce risque explose en cas de corrélation des défauts. Bref 3000 milliards qui peuvent faire BOUM et qui feront BOUM. Idem aux USA. Seule solution, la planche à billet puis l’hyperinflation.
- La productivité ne cesse d’augmenter. Avez-vous visité une usine
automobile ? Silence, presque personne ne travaille, des robots et
des automates partout. Et c’est pareil pour la majorité des usines
fabriquant (assemblant) la majeure partie de nos produits
manufacturés.
- la production mondiale est aujourd’hui totalement éclatée et
fragmentée, il n’y a plus de produits « made in France, in USA ou in
China », chaque produit est composé d’une multitude de composants
différents conçus, fabriqués et assemblés dans un nombre très élevé
de pays ; il est, par exemple, impossible de savoir, à propos de
Boeing et d’Airbus, lequel des deux génère plus d’emplois en France
;
- chaque composant est fabriqué de plus en plus dans des pays à bas
coût de main-d’œuvre (Asie, Océanie, Magreb, etc.), et avec un
nombre restreint de salariés en raison des robots et automates. Dès
qu’un entrepreneur envisage d’ouvrir une nouvelle unité de
production forcément plus moderne (moins de personnel et plus de
robots et automates) il évalue la future zone d’implantation en
fonction notamment des faibles coûts salariaux, c’est ainsi qu’on
commence à délocaliser la production de Chine jugée trop chère
maintenant.
- Les produits finis sont vendus aux classes moyennes de tous les
pays du monde et à toute la population des pays occidentaux, dits
riches. Mais l’occident n’a plus d’industrie et ne produit donc
aucune richesse réelle et emprunte pour acheter des produits
fabriqués par peu de personnes dans des pays pauvres par des
salaries très peu payés (Hic).
- Les matières premières nécessaires à notre civilisation
occidentale sont non renouvelables dans l’état de la technique
actuelle (pétrole, terres rares, etc.) et bientôt il va y avoir une
pénurie grave de toutes les sources d’énergie.
- La population mondiale ne cesse d’augmenter. La civilisation
industrielle du charbon-acier-pétrole a permis l’apparition de 6
milliards d’humains à compter du 19° siècle, alors qu’avant cette
population plafonnait à un milliard. Et bientôt il n’y aura plus de
pétrole ... La bulle humaine va t-elle disparaitre ?
- Soit trois quantités X, Y, Z :
X = le nombre d’individu, point, unité vivante sur terre, du virus,
plante, poisson, jusqu’à l’homme,
Y = la diversité, le nombre d’espèces différentes de ces points de
vie, soit la biodiversité,
Z = le nombre de culture humaines différentes qui existaient avant
la conquête du nouveau monde.
X, Y et Z = 100 en l’an 1000 après J.C. (nota les humains déjà à
cette époque avait détruit beaucoup d’animaux dans certains endroits
mais le phénomène restait localisé).
En 2011 avec des variation suivant les endroits :
X = 0,3 (soit 70 % de la vie détruite),
Y = 0,2 (soit la disparition de 80 % de la biodiversité)
et pour finir Z = 0,10 (soit 90 % des antiques cultures humaines
détruites)
- Le crédit, la monnaie-dette s’emballe : Inflation exponentielle du
crédit (jusqu’à l’hyperinflation) pour faire tourner une économie où
des rentiers/chômeurs achètent à crédit des produits fabriqués par
des robots entretenus par quelques salariés vivant au seuil de la
pauvreté dans les pays en voie de développement
- Le casino des bourses et des produits dérivés (C.D.O, back office,
etc.) a créé une dimension supra-économique où le montant des
échanges dépasse de beaucoup le montant du P.I.B. mondial, c’est
l’or des fous
- La morale et l’éthique sont mortes car leur base a été détruite
(le sacré et l’enchantement), seule reste la prédation des lâches,
donc la barbarie et le darwinisme social (à l’anglo-saxonne et oui
Darwin était anglais ...)
- La techno-science occidentale patine sur place, incapable de
produire de la nouveauté alors que les anciennes grandes théories
élaborées au début du 20° siècle ont montré leur inexactitude,
incomplétude, voire leur fausseté. En fait toute les anciennes
idéologies tournent à vide, creuses, sans cœur vivant qui les anime
Tout va péter
Le matérialisme nihiliste détruira t-il tout, les hommes, les
animaux, la nature ?
être ou ne pas être ...
Mais avant il a déjà réussi une chose : il a vendu notre âme au Dieu
Argent, son support (son chiffre 666)
Moi je suis né par hasard et pour rien, me revendiquant athée, agnostique, qui souhaite la disparition de toutes les chimères irrationnelles indignes d’un vrai civilisé, à savoir, dieu, transcendance, esprit, amour, qui ne sont que le fruit de sécrétions hormonales et de rouages neuronaux dont seuls des fous, des fanatiques, des arriérés primitifs et des rêveurs complaisants peuvent encore croire sérieusement ; croyant qu’il n’existe qu’un monde de forces, de particules et d’ondes et que tout peut s’expliquer par des lois immuables auxquelles ces forces aveugles et non conscientes obéissent ; que la vie et les êtres vivants ne sont qu’un épiphénomène, une complexification des forces naturelles et que c’est les organes qui fabriquent les émotions, la pensée ; pose et prétend (bien que n’étant qu’un rien né du chaos) expliquer le monde et ma propre condition.
Mais, rien, ne peut rien expliquer, n’étant rien, son explication n’est qu’un épiphénomène probabiliste, une sécrétion hormonale, une fiente de pigeon, un battement d’aile de papillon ou une fluctuation des vents solaires. Je ne suis rien et pourtant je joue encore au démiurge en prétendant expliquer quelque chose ! Mais taisez-vous donc, rien, car en niant le négateur on nie la négation et pourtant en niant on affirme encore qu’on n’est pas rien. Car rien ne peut exister et certainement pas affirmer qu’il est rien.
Fondement du réel
La Conscience fonde les preuves et non l’inverse. On ne peut la prouver car qui prouve quoi, si ce n’est la Conscience, principe ultime et fondement des preuves et du réel. Tout est réel s’il est vu par la conscience. Mais il existe diverses formes de réel : la veille qui est le réel commun à un groupe de sujets limités (dit univers par les humains), le réel noétique du domaine du rêve et individuel, et le réel de l’absence de conscience limitée du domaine du sommeil profond, de la mort, et du vide. Quant à l’au-delà du réel et de l’irréel, c’est l’incomparable Conscience, beauté sans forme et sans limite.
Pour expliquer un fait révélé à nos sens et pouvant être observé par tout Homme, monde matériel extérieur et commun, il existe une infinité de théorie possible.
Hommage à cette merveille,
au-delà du réel et de l’irréel, de l’existence et de l’inexistence, de la vie et de la mort, de l’un et de la pluralité, de l’extérieur et de l’intérieur, de la matière et de l’esprit, du plaisir et de la souffrance, du fini et de l’infini, grande perfection au-delà du temps, de l’espace, de l’esprit,
La vérité de la souffrance, la vérité de l’origine de la souffrance, la vérité de la cessation de la souffrance, la vérité du chemin de la cessation de la souffrance.
Sommes-nous heureux et libres, chaque jour, à chaque instant ?
Ou sommes-nous esclaves des circonstances et de nous-mêmes ?
Nous cherchons à survivre, flottant au grès des circonstances, guidés par la peur de la mort.
Si nous sommes seuls, au bout d’un certain moment, un trouble nous affecte, minés qu’on est par nos pensées et nos fantasmes. courant sans fin après nos désirs et même après le Désir. Nous cherchons à prouver quelque chose, mais quoi ? On cherche le plaisir par une action, un divertissement, une conversation et ne trouvons, rien, que la souffrance finalement. Nous sommes toujours malades.
Nous sommes esclaves de nos désirs.
Les idées, la culture, la science, toutes ces constructions du domaine intellectuel ne sont qu’une création ou actualisation des désirs.
Mais sans désirs sommes nous rien ?
Tout est dans le Désir.
Il faut le regarder car nous sommes le Désir.
Dans le désir il y a le voyant, l’être, la félicité, la puissance et la liberté.
Pourquoi nos désirs sans cesse renaissants et insatisfaits ?
Parce que nous ne voyons pas.
Nous refusons l’être.
Nous avons perdu la félicité qui n’est que la béatitude de la liberté infinie et éternelle.
Nous sommes impuissants le jouet de nos idées, émotions, croyances, évènements et perceptions.
Nous en sommes les esclaves.
Quand serons-nous libérés des choses qui nous entravent ?
Mieux encore, quand nous les trouverons savoureuses, merveilleuses, infinies et que nous les créerons comme la parure du plumage de la queue du Paon. Étant elles et dansant dans cette pure lumière consciente qui crée ce qu’elle voit, une création sans limite. Pure énergie de vie et de joie. Pure vibration de joie de se sentir à l’infini, sans lassitude, sans cesse tout nouveau et sans fin, une plénitude incomparable. Il n’y a qu’une puissance consciente infinie qui rêve l’univers, reflet infini, et nous sommes cette unique puissance car il n’y à rien d’autre qu’elle.
Et tout n’est que lumière consciente toujours toute nouvelle et pourtant sans commencement et sans fin.
La trame des efforts étant mise en pièces, l’ambroisie flue de l’océan de la Conscience qui, bien qu’elle vibre à l’intérieur de toute chose, est scellée par un grand sceau ; gloire au héros qui après avoir totalement soulevé le sceau par des moyens appropriés, jouit de l’ouverture interne, source de parfaite plénitude.