Vous représentez typiquement le genre de critique cinématographique que je ne supporte pas et ce pour plusieurs raisons.
Vous avez le droit de ne pas aimer un film, mais de là à arroser d’essence ce film pour y jeter votre *cigarette*, il y a un gouffre que vous franchissez allègrement.
Vous passez un bon cinquième de votre article à fustiger le fait que l’acteur principal, sensé jouer un juif, n’est pas circoncis. Quelle part réservez-vous au jeu d’acteur, au casting, à la réalisation musicale impeccable (les classiques Gainsbourg revisités, une bande son parfaite, ils sont peut-être là les fonds que vous cherchez ...) ? Où mentionnez-vous qu’Eric Elmosnino n’est pas seulement un bon acteur mais de plus est featuré dans une majorité de la bande originale ? Ça fait assez mauvaise figure pour une critique d’un biopic musical.
Le reste de votre critique est tout aussi injuste. Quel est l’intérêt de chercher une signification à des parenthèses, à l’utilisation du mot « conte », à l’apparition saugrenue et imprévisible de l’absurde ? Il y avait tant de choses importantes à dire sur ce film et vous vous attardez sur les détails. Faîtes votre boulot, bon sang !
Ce film N’EST PAS un biopic comme tant l’ont annoncé. A la différence d’un Piaf/Coco, Sfar annonce qu’il n’est pas intéressé par une image historique et réaliste de Gainsbourg et assume sa vision fabuleuse de sa vie (héroïque). Si vous voulez le voir brûler un billet de 500 et insulter une prostituée, il y a YouTube. Ça ne souligne pas non plus, cette différenciation ?
En résumé, ce film, qui ne souffre d’aucune défaut majeur, contentera les amateurs de musique et de cinéma, et réservera peut-être quelques bonnes suprises.
J’ai tendance à me taire lors des débats politiques, conséquence de mon ignorance relative, mais là, lorsqu’on touche à mon domaine, je ne me tiens plus.
Cet article est véritablement un tissu d’âneries enchevêtrées les unes sur les autres, qui tend à soutenir une thèse théologique relativement crédible par des arguments qui n’ont absolument rien à voir.
Je passe sur le 6 "doublement" parfait car produit de ses diviseurs, étant donné que tout nombre se divise par soit-même. Et qu’on ne vienne pas soudainement me changer les règles, le fait est que 1+2+3 = 1 x 2 x 3 est une pure intersection mathématique. Fallait que bien que ça tombe quelque-part, c’est tombé sur le 6. De là en faire le chiffre de la connaissance, le pas à franchir enjambe le Grand Canyon.
Je ne vais pas me lancer dans un déboîtage point par point de votre article - vous aurez sûrement fait vos recherches convenablement et les références seront probablement bonnes - mais encore une fois, les relations que vous en tirez seront de voter goût, ni plus ni moins.
Enfin, le détail qui TUE littéralement cet article, c’est que vous recherchiez, non pas le nombre 666 mais toute combinaison à 3 chiffres de 6 et 9, dans des dates qui n’ont rien de très incroyable.
Non mais vous vous écoutez quand vous nous déblatterez que 999 dans une date de 1999 n’est pas une coincidence ?
Essayez un peu de chercher la probabilité de trouver la probabilité que votre règle marche avec une date prise au hasard (car oui je crois que les dates des évenements ne sont "généralement" pas en relation avec les évenements eux-mêmes).
Pour terminer, j’illuserai votre démarche par cette réplique d’une soit-disante sorcière du Disqu-Monde de Terry Pratchett : "de toute façon, les chances sur un million, ça arrive neuf fois sur dix !"