Bonjour,
Merci pour votre soutien. Oui l’art d’entreprendre est difficile et celui de sauvegarder des emplois encore davantage...Il y a des gens qui oublient que les chefs d’entreprises une fois qu’ils ont tout misé sur leur entreprise, y compris leurs biens propres, et leur rémunération, peuvent être acculés, tout simplement du fait d’impayés ou d’absence de commandes.
Mais nous sommes les vilains...et les assimilés...à la politique du gouvernement...
Bonsoir,
merci monsieur pour votre article.Je n’avais pas encore pris connaissance des déclarations de Mme Morano....
Il faut bien entendu éviter d’en arriver à la situation des Egyptiens qui traquent les blogueurs rebelles...Voir dernier article sur mon site...
Je suis toutefois assez choquée de ce que je viens de découvrir en cliquant sur votre lien vers l’article du Monde. C’est étouffant !
Cela étant, les insultes, si elles sont publiques, peuvent être punies en France et cela vaut pour n’importe quel citoyen qui se ferait insulter. La réciproque est donc pour nous protéger tous.
Questions : sont-ce vraiment des insultes qu’elle a essuyées ?
Si oui, c’est incorrect de la part de ceux qui les ont dispensées et il peuvent être traduits en justice. C’est notre loi et elle n’est pas nouvelle.
A vous lire, je désespère....Moi qui essaie de trouver des contrats pour faire vivre mon entreprise et éviter de licencier des gens !!! Si je m’arrête à vos propos, il faut que je ferme la boite immédiatement et que je me sauve. Où trouver l’énergie de se battre pour continuer à maintenir l’espoir de ceux qui bossent en ce moment en entendant ou lisant à longueur de temps les germes de la révolte ?
Avez-vous des solutions constructives ?
Cyberentrepreneur
Pour répondre à Parousnik (plus haut), je ne sais pas si la loi est faite pour surveiller les Internautes ou préserver les droits d’auteurs.
Mais si ta thèse est bonne Parousnik, il y a du souci à se faire c’est certain. Dans d’autres pays, comme la Chine, ou encore plus récemment l’Egypte (voir dernier article sur mon blog, assez terrifiant), cette dérive conduit à la traque des blogueurs qui osent penser librement.