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Dabornepanuire

Je suis un peu tout. A l’origine j’étais membre d’une communauté aujourd’hui disparue (paysanne -de montagne- d’avant la guerre) qui avait, outre ses défauts, des traits de civilisation qui nous feraient maintenant honneur.
J’ai choisi d’être parent avec toutes les servitudes que cela comporte, et avec toutes les valeurs irremplaçables qui n’existent que chez les enfants. J’ai eu le dernier très tardivement, il illumine la fin de ma vie ; nous l’avons, sur mon insistance, élevé sans école.
J’agis seul pour essayer de faire comprendre qu’il est plus important de materner et d’élever autrement que de garder les "acquis sociaux" et un mode de vie qui est, de toutes façons, comdamné.

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Derniers commentaires



  • Dabornepanuire 26 janvier 2009 18:05

    Bonjour,
    Votre article a un mérite, celui de confirmer un état de fait, mais quel est l’intérêt de glosser pendant des décennies sur ce sujet en ne critiquant que "les autres" : c’est la faute des enseignants ou bien c’est la faute des parents, ou bien c’est la faute du manque d’autorité des uns et des autres ?
    Demandez-vous plutôt de quel environnement les enfants ont besoin pour être en bonne santé psychique (et physique), en pleine possesion de leurs moyens, Faut-il les mettre en collectivité pendant seize ou vingt et quelques années ? les regrouper par 1000 ou 1500 ? les habituer à l’obéissance (et ceci dès le berceau) ? les séparer de la vie réelle ? les faire vivre sous l’autorité d’un chef ? les habituer au stress dè la naissance ? croire que, hors de l’école (de la République) point de salut ?
    Personnellement je pense qu’une bonne réduction de l’ego des adultes leur permettrait de respecter les enfants, et un meilleur alignement du maternage et de l’élevage sur les besoins d’un être vivant typiquement déterminé par sa nature de petit homo sapiens serait bénéfique.
    N’attendons pas, sur ce dernier point, que les pédopsychiatres et autres pédiatres se mettent d’accord, réfléchissons par nous mêmes.



  • Dabornepanuire 17 janvier 2009 11:56

    Bonjour,
    A propos de la difficulté à entreprendre en France (sans parler d’ailleurs), je vous signale que déjà dans les années 70 la chambre de commerce de Versailles avait édité un document dans lequel on pouvait lire, en toutes lettres : "POUR CREER UNE ENTREPRISE IL FAUT ÊTRE UN PEU FOU". Provenant d’un organisme qui a pour mission de pomouvoir l’activité économique, cette déclaration en disait long !
    Malgré une quarantaine d’années de "simplifications" administratives annoncées il semblerait que les progrès soient minces !



  • Dabornepanuire 1er janvier 2009 19:22

    Bonsoir,
    Je réagis au commentaire et à l’article :

    - On ne guérit pas de l’école en rajoutant de l’école !

    - on ne bâtit pas les étages sur des fondations pourries !
    1) TROP D’ECOLE :
    Mettre des enfants en collectivité dès six semaines et jusqu’à 16 ou 25 ans c’est porter atteinte à leur santé mentale et physique, c’est leur cacher la vraie vie, c’est faire une faute grave.
    2) FONDATIONS POURRIES :
    Les humains fabriquent leur système nerveux pendant 20 ans et tout particulièrement pendant les six premières années (surtout les trois premières) ; pour BIEN CONSTRUIRE leur cerveau ils ont besoin de conditions qui ne sont JAMAIS obtenues dans le système éducatif tel qu’il existe. Ainsi nous fabriquons la quasi totalité des problèmes que nous déplorons (ainsi que ceux que nous ne déplorons pas) pendant les six premières années des enfants.
    DES ELEMENTS DE SOLUTION ? EN VOILA :
    1- PAS de collectivité avant six ans ;
    2- CHANGER le regard que les adultes portent sur l’enfant ;
    3- commencer la scolarité pendant deux à trois heures par jour seulement ;
    4- supprimer les groupes scolaires et diluer l’école dans la vie réelle par divers moyens ;
    5- modifier profondément le tête à tête destructeur enseignant-élève ;
    6- ne plus considérer l’enfance comme un sujet mineur ;
    7- dans la société, changer réellement la vie en éliminant, notamment, le système économique qui vit de la surconsommation (sans possibilité de retour en arrière) ;
    ET D’AUTRES CHOSES ENCORE......



  • Dabornepanuire 23 décembre 2008 14:19

    Bonjour,
    Tout ça à l’air de tourner en rond, chacun en juge selon sa chapelle.
    On pourrait penser que la situation n’est pas si mauvaise puisque les jeunes se réunissent pour débattre, ont envie de s’exprimer et qu’ils se réfèrent à diverses sources ; mais dans la pratique le doute me parait aussi de mise parce que je n’arrive pas à être rassuré quand notre société moderne prend les bébés à six semaines pour les mettre à la crèche et les lâche ,au mieux, seize ans plus tard, et au pire vingt à vingt cinq ans après ! le Q.I. en est peut-être amélioré mais quand est-il de l’autonomie sous tous ses aspects, de la créativité, de la santé mentale, de l’estime de soi, de l’empathie etc... quand on a subi cet enfermement toujours assorti d’un chef chargé de maintenir l’obéissance et de sanctionner les conformités aux dogmes ? quels besoins de routines se sont installés dans l’inconscient de ceux qui ont été réveillés toujours à la même heure (à l’âge où le sommeil est sacré) et qui ne peuvent jamais savoir ce qu’est la liberté, la liberté de créer car on les assoie sur une chaise et on les enferme, soit dans une salle de classe soit dans un habitat urbain inadapté ? heureusement, d’autres sont en alternance ; ceux-là ont quelques chances de se rétablir et de rééquiilibrer leurs fonctions mentales avec leurs compétences physiques, mais je suis à peu près sûr qu’il est trop tard à cet âge pour que leurs personnalité affective/émotionnelle
    se guérisse d’un passé trop lourd.
    Quelle époque !



  • Dabornepanuire 22 décembre 2008 18:31

    Sophie,
    Oui, oui, un peu d’humour me siérais tout à fait ; mais il faudrait qu’il me vienne naturellement sur ce sujet.
    Hélas, le carré et le rond,puisque c’est ainsi que vous les nommez, ne m’ont comblé que dans leurs fruits, ce qui est beaucoup j’en conviens  ; cependant je ne m’en vais pas sans regrets et sans peine : c’est qu’à notre époque le sujet n’est plus guère compatible avec ses fruits, et c’est bien dommage.

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