La
Constitution est actuellement bafouée dans la vie courante entre autres par les
PV automatiques qui violent les articles 4, 5, 6, 8 et 9 des droits de l’homme
de 1789 et par toutes les taxes qui violent l’article 13 des droits de l’homme
de 1789.
ART. 13. — Pour l’entretien de
la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution
commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre tous les
citoyens, en raison de leurs facultés.
Elle
est encore bafouée dans les privatisations des services publics ou des
monopoles :
« Tout bien,
toute entreprise, dont l’exploitation a ou acquiert les caractères d’un service
public national ou d’un monopole de fait, doit devenir la propriété de la
collectivité. » (préamb consti 1946)
Donc autoroutes, eau,
gaz, électricité, voie ferrée, aéroport, doivent réintégrer la propriété de la
collectivité.
Elle
est encore bafouée dans la misère de certaine retraite.
« Elle garantit
à tous, notamment à l’enfant, à la mère et aux vieux travailleurs, la
protection de la santé, la sécurité matérielle, le repos et les loisirs. Tout
être humain qui, en raison de son âge, de son état physique ou mental, de la
situation économique, se trouve dans l’incapacité de travailler a le droit
d’obtenir de la collectivité des moyens convenables d’existence. » (préamb
consti 1946)
Pourquoi
aucun parti ne demande à ce qu’elle soit appliquée à la lettre ?
La
réquisition des autoroutes que vous demandez est en fait une obligation constitutionnelle :
« Tout bien,
toute entreprise, dont l’exploitation a ou acquiert les caractères d’un service
public national ou d’un monopole de fait, doit devenir la propriété de la
collectivité. » (préamb consti 1946)
Donc autoroutes, eau,
gaz, électricité, voie ferrée, aéroport, doivent réintégrer la propriété de la
collectivité.
L’épitre de Jacques
nous dit ce qui va tomber sur les riches qui s’accaparent les richesses des salariés :
« A vous
maintenant, riches ! Pleurez et gémissez, à cause des malheurs qui viendront sur
vous.
Vos
richesses sont pourries, et vos vêtements sont rongés par les teignes.
Votre
or et votre argent sont rouillés ; et leur rouille s’élèvera en témoignage
contre vous, et dévorera vos chairs comme un feu. Vous avez amassé des trésors
dans les derniers jours !
Voici,
le salaire des ouvriers qui ont moissonné vos champs, et dont vous les avez
frustrés, crie, et les cris des moissonneurs sont parvenus jusqu’aux oreilles
du Seigneur des armées.
Vous
avez vécu sur la terre dans les voluptés et dans les délices, vous avez
rassasiez vos coeurs au jour du carnage.
Vous
avez condamné, vous avez tué le juste, qui ne vous a pas résisté. »
(Jacques 5 :1-6)