Désespérant car ce genre d’analyse est automatiquement taxée de « paranoïa », sans que d’ailleurs personne ne sache exactement ce qu’est la paranoïa.
Cela fait quelques années que je connaissais cet aspect bidon de l’immigration « nécessaire », bien des articles, ici et là, le signalait ( d’ici 2040, par exemple, selon les calculs de quelques journalistes allemands, l’Allemagne serait habitée par une majorité de ... Turcs. Donc cette méchante Allemagne disparaîtrait au profit d’un nouvel état turc...), mais j’avais lu aussi des rapports de l’ONU et Cie, expliquant, imposant cette immigration de « remplacement ».
En fait, que les « sales blancs » européens disparaissent, place à la si sublime Afrique.
Désespérant, désespérant car la population « victime », - nous - laissons faire au nom d’un politiquement correct qui n’est qu’un bâillon.
Au nom d’une « repentance » excessive, l’Europe doit être purement et simplement COLONISEE. Quelques masochistes trouvent cela très bien, au nom d’un juste retour. Masos qui oublient un peu vite que des milliers de gens - leurs pères, leurs oncles, voire leurs mères - se sont battus, sont morts aussi, pour que ces africains, et aussi les orientaux, puissent venir librement en Europe. Venir ET repartir. Pas s’y installer.
Moi, je veux bien me battre pour que les Africains puissent vivre LIBREMENT dans leurs pays. Dans leurs pays. Pas chez moi, pas à ma place.
Il est même étonnant que ce fil n’ait pas été censuré !
Ah bon ? Donc, en fait, vous vous moquiez de ces oeuvres ? J’avions pas ben compris.
Faut dire, je persiste, que c’était bien bavard. Pour dire quoi ? Que le cochon n’est qu’une amusette, que le plongeur étrusque une oeuvre de génie ? Pour le cochon, d’accord, pour le plongeur, oui, c’est émouvant mais pour d’autres raisons que le génie pur et simple.
Quand on est « Arabe » (pour simplifier) et que l’on vient s’installer en France ou en Europe, c’est pour s’intégrer à la France ou à l’Europe. Si on cherche à imposer l’Islam à la France ou à l’Europe, cela s’appelle conquête. Pour simplifier.
Un vrai Musulman ne peut avoir qu’un seul but dans la vie : imposer l’Islam (qui est « soumission », faut-il le rappeler). Tout le reste est baratin pur et simple. Y compris le rappel de ce qu’ont pu faire les chrétiens. Moi, ce qu’a fait mon arrière grand-père ne m’amène pas à me les faire couper en signe d’expiation. A ce compte-là, il faudrait demander des excuses à l’Italie pour la persécution des chrétiens par les romains, aux Allemands pour avoir coupé en tranches nombre de Gaulois par Germains interposés, aux Danois et autres Scandinaves pour les Vikings ayant pillé une bonne partie de l’Europe...
Ramener sur le tapis Avicenne, Omar Kayam, la Cour de Grenade ou les propos bien convenus de quelques sages barbus, ne changera rien au fait que l’Islam est une religion des plus simplistes - c’est pour cela d’ailleurs qu’elle s’impose si facilement - et qu’elle vise, par son Coran même, à l’hégémonie sur le monde. Aucune spiritualité n‘est demandée au « soumis ». Pour gagner le Paradis, quelques règles - contraignantes, certes, mais pratiquées en groupe, ce qui à l’avantage de repérer les Impies - quelques règles bien précises, donc, et hop, c’est dans le sac. Des règles qu’on nous présente parfois comme des règles d’hygiène bien saines au nom d’un scientisme primaire. A l’occasion, tuer quelques Infidèles permet de gagner des points.
Par ailleurs, prétendre qu’il suffit d’attendre quelques décennies pour éponger l’enfer que vivent des millions de femmes et de filles en Afghanistan, en Irak, en Arabie Séoudite, en banlieue parisienne, et aussi à Paris, à Lille, à Marseille, partout ou une communauté musulmane se construit, revient à dire au Juifs : « oubliez Auschwitz maintenant que vous avez l’état d’Israël. C’était le prix à payer ». Ben voyons !
Froide ? Cela revient à dire que si je n’aime pas l’art africain, c’est que je suis raciste ? Ou qu’être raciste empêche d’apprécier cet art ? Ou encore qu’en tant qu’Africain, je me devrais d’approuver vos broderies oiseuses ?
Moi, je trouve que ce n’était que du délayage verbeux. De plus les sujets objets de cette verbosité n’en valaient pas tant.