Paradis fiscaux, la grande évasion.Un film de Frédéric BrunnquellDiffusion le 15 mai à 23H05 sur France 2 dans Infrarouge. Le monde n’a jamais porté autant de richesses. La vente de produits de luxe bat tous les records, le nombre de milliardaires augmente sans cesse... Pourtant les caisses des États sont désespérément vides. Où est donc passé l’argent public ? Des Caraïbes à Jersey en passant par le Ghana, Frédéric Brunnquell a mené l’enquête sur cette "Grande évasion" et découvert le pot au rose : alors que l’ONU réclame 50 milliards pour éradiquer la pauvreté, plus de 10 000 milliards de dollars sommeillent à l’abri des regards dans les paradis fiscaux. Mais au fait, c’est quoi au juste un paradis fiscal ?
Mais au fait, c’est quoi au juste un paradis fiscal ?
Pour découvrir pourquoi Bono, le chanteur de U2 connu pour son engagement dans les grandes causes humanitaires, mérite sa boule de neige, rendez-vous le 15 mai à 23h05 sur France 2.
Paradis fiscaux, la grande évasion.Un film de Frédéric BrunnquellDiffusion le 15 mai à 23H05 sur France 2 dans Infrarouge.
Le monde n’a jamais porté autant de richesses. La vente de produits de luxe bat tous les records, le nombre de milliardaires augmente sans cesse... Pourtant les caisses des États sont désespérément vides. Où est donc passé l’argent public ? Des Caraïbes à Jersey en passant par le Ghana, Frédéric Brunnquell a mené l’enquête sur cette "Grande évasion" et découvert le pot au rose : alors que l’ONU réclame 50 milliards pour éradiquer la pauvreté, plus de 10 000 milliards de dollars sommeillent à l’abri des regards dans les paradis fiscaux. Mais au fait, c’est quoi au juste un paradis fiscal ?
Mais au fait, c’est quoi au juste un paradis fiscal ?
Pour découvrir pourquoi Bono, le chanteur de U2 connu pour son engagement dans les grandes causes humanitaires, mérite sa boule de neige, rendez-vous le 15 mai à 23h05 sur France 2.
moi même ayant été reconnu travailleur handicapé ce que je remarque c’est la haine et c’est tout ...
rien d’autre, je suis considéré au même niveau qu’un rmis’t n’ayant pas droit à la rémunération handicap car n’ayant que 69 % de handicape ce système est une honte pour le pays des droit de l’homme riche ...
y’en à marre de toute cette merde pendant ce temps des milliards sont échangé dans des paradis fiscaux
à l’insu de tous et on vient stigmatiser les pauvres, vous croyez pas qu’il serait temps de regarder tous ceux qui vive dans des palais à l’élysée ou il faut 400 personne pour une seul personne et des cuisines 5 étoiles dans les ministères, des caves à vin au sénat etc etc et je parles meme pas de ces hôtels et autres villas à 1500 euros la nuit ... un monde ou le partage n’est qu’une illusion, même sur les sites d’emploi pour les handicapé ou on propose des boulots comme si la personne n’avait pas une sensibilité supérieure au communs des mortel et n’était pas plus sensible au bruit ...
Nous sommes à un moment de l’histoire qui pose un défi radicalement nouveau à l’espèce humaine : pour la première fois, son prodigieux dynamisme se heurte aux limites de la biosphère et met en danger son avenir. Vivre ce moment signifie que nous devons trouver collectivement les moyens d’orienter différemment cette énergie humaine et cette volonté de progrès. C’est un défi magnifique, mais redoutable.
Or, une classe dirigeante prédatrice et cupide, gaspillant ses prébendes, mésusant du pouvoir, fait obstacle au changement de cap qui s’impose urgemment. Elle ne porte aucun projet, n’est animée d’aucun idéal, ne délivre aucune parole mobilisatrice. Après avoir triomphé du soviétisme, l’idéologie néo-libérale ne sait plus que s’auto-célébrer. Presque toutes les sphères de pouvoir et d’influence sont soumises à son pseudo-réalisme, qui prétend que toute alternative est impossible et que la seule voie imaginable est celle qui conduit à accroître toujours plus la richesse.
Cette représentation du monde n’est pas seulement sinistre, elle est aveugle. Elle méconnaît la puissance explosive de l’injustice, sous-estime la gravité de l’empoisonnement de la biosphère, promeut l’abaissement des libertés publiques. Elle est indifférente à la dégradation des conditions de vie de la majorité des hommes et des femmes, consent à voir dilapider les chances de survie des générations futures.
Pour l’auteur de ces pages incisives et bien informées, on ne résoudra pas la crise écologique sans s’attaquer à la crise sociale concomitante. Elles sont intimement liées. Ce sont aujourd’hui les riches qui menacent la planète.