Décoder l’éco

Bonjour,

vous entretenez la confusion entre suivi du nombre de tests RT-PCR positifs et « épidémie ». Il n’y a pas d’épidémie s’il n’y a pas de gens malades.

Cet été, aucune épidémie n’a été relevée absolument nulle part en France Métropolitaine. En revanche, la mise en place du pass sanitaire, comme dans de nombreux pays, a fait exploser le nombre de tests réalisés et donc le nombre de tests positifs. Le changement progressif de technologie de test avec le fameux « criblage » a également augmenté le taux de positivité.

Cette situation n’a rigoureusement rien à voir avec ce qui était auparavant considéré comme des épidémies de grippe contrairement à votre assertion.

Une épidémie de grippe était encadrée temporellement par des retours du Réseau Sentinelles annonçant l’augmentation du nombre de malades, et une étude a posteriori évaluait la surmortalité de la période.

Cet été le Réseau Sentinelles a été très clair sur le fait qu’il ne s’est absolument rien passé et d’ailleurs aucune surmortalité n’est visible, c’est même plutôt une période de sous-mortalité. Je le répète, il n’y a pas eu « d’épidémie » cet été.

Du côté des hôpitaux, il meurt en France, en moyenne entre 800 et 1000 personnes tous les jours à l’hôpital. Cela vous donne une idée du stock en soins critiques, même en été.

Dans son étude, la DREES fait état de 900 décès Covid sur une période allant du 31 mai au 11 juillet, soit 42 jours. Il s’agit donc de déclarer 900 décès sur les 30 000 de la période décédés à l’hôpital. Mais qui va croire que ces 900 sont autre chose que des personnes qui seraient de toutes façon décédées à ce moment-là, positives ou non ? Encore une fois, cette période montre une sous-mortalité.

En résumé, on peut faire les raisonnements les plus intelligents du monde, si les données et suppositions initiales ont la qualité d’un étron, cela ne mènera pas plus loin que le siphon des toilettes.

Un peu comme si vous utilisiez le principe mathématique de récurrence sans jamais vérifier l’initialisation.

Questionnez les statistiques de tests et repartons sur des raisonnements partant de bases saines et cela ira beaucoup mieux.

@Eric F
le pic de surmortalité de mars/avril 2020, supérieur à tous les pics antérieurs, ainsi que le spectaculaire pic+bosse de fin 2020/début 2021 sont chacun corrélés exactement à des choix « sanitaires », mais surtout médicamenteux.
Le premier correspond à la baisse historique de recours aux antibiotiques pour limiter les infections respiratoires combiné au recours historiques à des palliatifs. Donc pour la première fois de l’histoire on a demandé aux médecins de ne pas délivrer de médicaments, mais plutôt de terminer les malades une fois l’infections en place.
Le second correspond au record d’injections antigrippales jamais égalé dans notre histoire suivi des injections covid.
Toutes ces hausses sont corrélées à des choix médicamenteux. Ils ont été pris dans le cadre d’une panique mondiale liée au focus sur quelques virus qui n’ont jamais été liés à autre chose que des rhumes.

@Eric F
Il n’y a pas de « décroissance » de la mortalité pour les jeunes. Il y a un pic de mortalité au moment exact des injections.
Que vous me fassiez le coup pour les personnes âgées soumises aux mortalités hivernales, pourquoi pas. Je réponds que ce sont les mêmes moments que d’habitude : le printemps. Vous ne pouvez pas dire que vous observez un impact s’il se passe la même chose que d’habitude.

Concernant les jeunes, regardez les graphiques. Un pic très concentré juste APRES les injections. À aucun moment cela ne ressemble à une courbe de hausse de mortalité classique.

@Eric F
Vous êtes désespérant.
Pourquoi sur ce sujet vous mettez-vous autant de barrières intellectuelles ? On dirait De Lorgeril, Chomsky ou Onfray. Les mecs qui écrivent des bouquins sur le consentement, les arnaques de Big Pharma ou la Liberté et qui demandent la protection du parti au premier rhume venu quand ils se sentent au crépuscule de leur vie. 
Je le re-re-re-re-dis, le fléchage Covid sur les décès ou hospitalisations n’a absolument rien de scientifique et n’est que politique. On ne peut pas se servir de cet indicateur dont les règles ont changés de façon à inclure un maximum de monde dedans (sauf les vaccinés). Il faut étudier les décès toutes causes et après on discute.

La décroissance de la mortalité dont vous parlez n’est à mettre en face que d’un seul facteur qui arrive tous les ans à peu près aux mêmes dates : le printemps. Au printemps avec le redoux, toutes les infections respiratoires diminuent de façon à devenir quasi indétectable. Sentinelles en France nous dit qu’il ne se passe rien depuis le mois de mai. C’est normal et partout pareil dans l’hémisphère nord.
Piquouser les gens à la fin de l’hiver pour leur promettre que ça ira mieux au printemps jusqu’à l’hiver prochain, l’arnaque est tellement grossière, que c’est à se plier de rire.

Si ces injections ont pour but de nous débarrasser des plus crétins d’entre nous, je me demande si je ne vais pas arrêter de me pourrir la vie et luttant contre et plutôt gagner du pognon et une médaille en vantant ses mérites (bisous à l’andouille des roses).

@Séraphin
S’il y a bien une chose certaine en voyant ce pays qui fait subir ça à toute sa population jeune, c’est que la Covid-19 n’est pas un complot sioniste.
Au fait, quelqu’un les a prévenu que BioNTech c’est allemand ?