Gagner de l’argent, en employant des salariés au black, cela demande une organisation assez compliquée à mettre en place, et beaucoup n’ont pas la logistique nécessaire.
Dans nombre de cas, le travail au noir, permet de reculer des échéances, mais elle n’enrichit pas, et tout au contraire, elle appauvrit celui qui en use.
Ce que la pauvreté a de particulier, est finalement trés simple : Elle n’est plus ce qu’elle était.
Pami ceux qu’elle touche, le nombre de ceux qui y tombent sans "préparation" augmente. Il s’ensuit qu’ils tiennent un discours, qui n’est pas vraiment celui d’un exclus, mais d’un ancien quelque chose d’autre.
Depuis que nos sociétés éxistent, il y a toujours eut des gens de "biens", et des gens de "peu". chacun vivant selon des règles élaborées par des années d’expériences.
Il n’y pas trés longtemps, encore, les pauvres disposaient d’un système démerde, qui avait fait trés largement ses preuves, et qui au fil du temps, tend à disparaitre.
Autrefois, en faisant les poubelles, on trouvait de quoi vivre.
Des bouteilles à déconsigner, pour un paquet de gauloise, un peu de cu, ou de al, pour le sel et le poivre, etc....
Aujourdh’ui la pauvreté a été incluse, dans le système économique qu’elle nourrit. Elle fait travailler et salarier beaucoup de personnes, qui sans celà les rejoindraient, au risque de faire sauter le couvercle.
Ceux qui tombent et culpabilisent, n’ont qu’une hâte, retourner caresser la botte qu’ils ont pris dans le cul, et ce n’est , semble t il ,pas la bonne solution.
Pour s’en sortir, s’ils le veulent, les "pauvres", n’ont besoin que de leur nombre, parents et alliés, et la méthode, c’est de passer outre ceux qui les ont chassés.
On peut être pauvre à partie du 4,5,6,7 jusqu’au 20 environ, et dans la misère du 20 jusqu’au 4,5,6,7, du mois suivant, et puis recommencer, ad rmi eternam....