Oui, vraiment l’ignorance, c’est quelque chose !
A en faire oublier que les gaz à effet de serre, c’est à 75% de la vapeur d’eau, rejetée à profusion par les centrales nucléaires.
Dont le Tricastin, qui fournit 6% de la poduction nationale en énergie et en consomme 4% sur le site.
On peut le dire, l ’EDF, ne fournit pas que des lumières.
Parmi les éléments qui influent dans les mutations naturelles, aucun ne se nomme économie, monnaie, profit. Cela, n’importe qui peut le comprendre.
Les mutations naturelles, sont libres et accessibles pour tous.
Que se passerait il si la nature, dans 1, 10, 100 ans, développait un organisme déjà breveté, par une multinationale ? Dans les faits, le plus légalement du monde, cette multinatinale aurait un droit de vie ou de mort sur la planète.
Cela n’est pas acceptable.
Je ne reconnais à personne le droit de me faire payer, les graines de fruits et légumes, conservées aprés consommation, et je ne reconnais à aucune autorité, fut elle légale, le pouvoir de me l’imposer.
Pour juger, il n’est pas utile de tout savoir, sur tout, il suffit souvent de savoir qui on est et ce que l’on veut.
Le jour ou "cette fenêtre ouverte sur le monde", "cette espace de liberté", bref, la tv, la cinq, pour être plus précis, et avant que l’écran ne se noircisse, il fut un J M Sylvestre, aux accents pathétiques, qui pour sauver un strapontin, aurait volontier posé son assise sur des membres actifs et solvables avec ou sans vaseline.
Apparemment, et dans l’adversité, il fut posé ailleurs !
En lisant l’article, j’ai tiqué sur deux détails : L’indispensabilité des profits.
Si les prix de vente, réflètent éxactement les prix de revient réels, toutes charges comprises, d’un produit fini, l’entreprise peut fonctionner et prospérer sans faire un centîme de bénéfice. Je crois que le plus simple, serait quelque soit la forme juridique de l’entreprise, de considérer le "capital" comme prêt remboursable, avec ou sans rémunération, cela permettrait de voir le monde de l’entreprise plus sainement. L’objectif de l’entrepreneur privé.
Il est éxactement le même, que pour le citoyen normal, seul l’appêtit diffère. On pourra objecter, telles exceptions d’entrepreneurs se battant pour sauver leur création, mais globalement, il n’y a aucune notion chevaleresque dans les buts de l’entreprise, au dela du partage du butin.
Pour un sommet,
le problême N° 1 qu’il faudrait résoudre, c’est celui qui concerne la circulation de la monnaie. Il faut faire sauter les barrages qui empêche la monnaie d’irriguer des pans entiers de notre société, menacés d’asphixie. La spéculation qui draine la monnaie vers l’entreprise et non vers l’homme, sans en sauver aucun, en est un des principaux.
Pour parler vrai, le capitalisme à muté, il est mort. Les capitalistes aujourd’hui, sont des entreprises qui prospèrent sur les avoirs de leurs clients.
Sans m’appesantir sur la perversité du système, le mieux serait d’officialiser cette mort, et de supprimer les éléments inutiles.
Il ne faut, ni sauver, ni nationaliser, mais plutôt mutualiser en structures à taille humaine, solidaires et indépendantes.
Pour reprendre un commentaire, j’ajouterai que l’homme n’apprends ni à soumettre, ni à se soumettre. L’apprentissage se fait par transmission d’ expérience, qui n’existe plus coté pouvoir, avec l’avènement des républiques , et côté soumis, toute la somme des expérience conduit à s’affranchir des tutelles, et dans chaque soumis contraint, sommeille un " Brutus"
Nos élus apprennent à se maintenir envers et contre tout, ils ne savent pas gouverner.
C’est aussi simple que cela.
Votre démonstration aurait des chances d’etre juste, si l’économie et la finance était soumises au pouvoir politique.
Nous savons trés bien que ce n’est pas le cas, aussi bien en France, qu’au pays des Kennedy.
Pour ce qui est des banques, il s’agit, il me semble, de prets sur hypothèque, ce qui est la meilleure des garanties, dans une situation normale.
Le problême n’est donc pas l’insolvabilité ; des "pauvres" propriétaires, mais l’impossibilité de trouver preneur pour ces propriétés aprés saisie.
Preuve qu’il n’est pas impossible d’être banquier et con, de même que libéral et simplet, pour croire que tout "anti" est obligatoirement etatiste et collectiviste.