Il semblerait, que Boz, dans l’ain, soit en partie peuplé par des descendants de Maures, coupés du gros de leurs troupes aprés la défaite de Poitiers. Je connais ce village, et je dois bien avouer, que si c’est vrai, celà ne se voit pas.
Ce que la France est, je le sais comme vous, le résultat d’un brassage, de tribus, de nations, se "confondantpeu à peu", vous savez aussi, je pense que les ghettos, furent expressemment créés pour les juifs, dont le plus grand nombre est resté en dehors de ce brassage.
Je pense qu’il y a là une leçon à tirer, qui serait profitable.
Un pays n’est pas comme les serpents qui peuvent digérer des proies plus grosses qu’eux. Pour que les étrangers puissent se confondre avec les indigènes, il faut d’une part, qu’ils le désirent, et qu’ils puissent se "diluer" dans la masse. Le moins que l’on puisse dire, et que le nombre et la concentration dans les banlieues ou les bidonvilles, est une entrave sérieuse à cette "dilution"
@ deneb
". Le fait est que jamais dans l’histoire un pays aurait amélioré sa situation en expulsant les immigrés clandestins. C’est même le contraire : quand un pays commence à expulser en masse ses clandestins, c’est qu’il va mal."
Sauf le départ des "européens d’algérie" aprés 1962, qui eut un impact économique, je ne vois pas quel exemple pourrait renforcer cette affirmation.
L’auteur, je n’aimes pas votre question. Je pense que cette tournure n’est pas innocente, et j’en ignore les raisons.
Personnellement, je suis ma morale, mes principes, puis la loi. La loi peut changer, pas mes priorités.
En tout état de cause, etre etranger, n’est pas un délit. Seulement , évidemment, ce n’est pas de celà, dont il s’agit, mais plutot de tracer une frontière entre les gentils et les méchants. Permettez moi de vous dire, que vous faites fausse route, et cette façon d’aborder le problême, ne contribue pas à le résoudre, mais tout au contraire à le rendre insoluble.
L’immigration clandestine est un phénomène, dont on comprend trés bien les tenants et les aboutissements, et le principal probleme est que cette immigration vise des terres non seulement occupées mais parfois surpeuplées et économiquement fragiles.Celà est un aspect, de la question, l’autre aspect, ce sont les personnes.Ce n’est pas du tout la même chose de donner son opinion sur un problême global, ou sur un cas particulier.
Je suis contre l’immigration illégale, et même légale, lorsqu’elle a pour but de fausser la situation, je suis contre les régularisations et les naturalisations telles qu’elles se pratiquent.Pas tellement, à cause des personnes à qui ces mesures s’appliquent, mais plutot parce que les buts visés par ces mesures, à mon avis, ne sont pas de celles qui honorent une action désinteressée.
Je n’ai pas toute les vérités entre mes mains, mais je sais une chose : on ne rompt pas sans séquelles le lien qui nous unie à nos racines, et celles la, vont plus loin que notre enfance.
Si on veut vraiment aider les étrangers, il faudrait mettre en place un système, qui les aide, là ou ils sont des natinonaux.
Pour faire le bien, il ne faut pas seulement le vouloir, il ne faut pas seulement le faire, il faut que le bien perdure.
Apparemment, il se produit tout à la fois, une augmentation de la température, et une diminution de l’évaporation. Grosso modo, les gaz à effet de serre, fonctionne comme un accélérateur et les matières en suspension comme un ralentisseur.
Aprés que les avions aient été cloués au sol, suite aux attentats du 11 septembre, il a été noté une augmentation de la température sur le territoire des états unis.
Les contrail, et chemtrail, participeraient, également comme retardateur.
Les paramètres à prendre en compte dans le dérèglement climatique, ne sont pas tous connus, et il semble difficile de construire un modèle fiable dans le temps, puisque chaque découverte remet en question le modèle en vigueur.
Si on peut avoir une certitude, c’est que par le codex alimentarius, par le rechauffement climatique, ou autre, une bonne partie de la population terrestre est en sursis, et cet épée de Damoclès, n’émeut pas outre mesure les gouvernements du monde qui persistent à finaliser l’interdépendance économique des nations.
Il faut espérer, que la responsabilité de l’homme soit infime et sans influence, ce qui n’empêche pas de revoir nos priorités, car il vaut mieux avoir peur pour rien, que trop tard.
Si l’on pouvait s’élever au dessus des évènements, et les apprécier dans leur globalité, on s’apercevrait que telle décision, qui nous parait farfelue et aberrante, colle parfaitement avec telle autre prise ailleur, au niveau des états ou des organismes, dont certains, inconnus du grand public.
Ce qu’il nous est permis d’appécier, n’est qu’un des éléments d’un immense puzzle qui se met en place de façon insidieuse.
Ce qui est organisé, c’est l’interdépendance des nations, mais aussi des hommes entre eux , à l’intérieur d’un état, jusqu’à la commune, le quarttier.
Le fait est que même en étant conscient du fait, de ce qui se trame, de la dégradation de la qualité de vie, nous sommes désarmés, face à la multiplicité des pièces de ce puzzle qui tendent à se mettre en place, en même temps, et nous n’avons d’autre choix apparents, que de nous opposer désunis contre l’ensemble des pièces, et entre nous, ou nous unir contre un aspect du problème, gagner là et perdre partout ailleurs.
Est il possible de se battre pour un interet puéril, immédiat, et ce faisant, mettre en place, les conditions de notre esclavage ?
Malheureusement, oui, et plus d’une fois.
L’adaptation des hommes au besoin de la société, est une réalité qui s’écrit chaque jour. L’Economie nécessite de consommateurs qui payent pour leurs besoins, et surtout pas d’adeptes du système D.
Les taxes, c’est de l’argent de poche pour l’état, qui doit rester déficitaire, et le purin d’ortie, c’est industrialisé qu’il doit etre utilisé.