Salut !
Je fais quelques piges à gauche et droite pour des sites et des journaux régionaux, certains sites culturels, des associations, magazines et musées. J'aime bien le concept d'Agoravox, alors je me lance !
@ + !
deep31
C’est sûr, c’est une situation difficile. Il faut toujours être ferme au départ, lors de la première demande, clairement lui indiquer que les vacances sont déjà posées, et que le rendez-vous attendra le retour. Evidemment, plus facile à écrire qu’à faire... J’irai pas jusqu’à dire que c’est une société pourrie. Mais il faut se garder d’avoir les pensées qui vont à notre tour avoir envie de la pourrir. Néanmoins, bon courage, Marie !
Les eaux internationales ne
sont pas un concept
véritablement défini. Bien sûr, vous trouverez des avocats pour vous montrer où se situent les frontières exactes
frontières des "eaux
internationales". Dans ce genre de dispute, ou procès, tout dépend de quel
est le véritable enjeu qui se
cache derrière. Honnêtement, je dois dire je n’ai pas les connaissances nécessaires
et valables pour formuler une réponse adéquate en termes de droit
international.
Cependant, vous soulevez une question extrêmement intéressante : celle de la
propriété « géographique » des données. Elles dépendent toujours du
droit étatique. Certaines conventions, plus régionales ou globales, essaient de
se dessiner des cartes de propriétés. Mais la plupart des états n’ont pas d’accord
spécifique en la matière. Il y a une grande controverse au sujet du
stockage de données : beaucoup de gigabits sont actuellement stockés
dans des pays extérieurs. Facebook a
également inauguré un data center à Luela, en Suède. Les centres de
stockage de Google sont aussi situés dans des endroits stratégiques. Il s’agit
d’économiser des coûts électriques. Le
refroidissement des différents périphériques informatiques est onéreux.
Toutes les îles
sont aujourd’hui soumises à la loi d’un quelconque état. Difficile de lancer un site
« eaux territoriales ». Les serveurs ont leur base physique dans un
état. Certaines juridictions sont moins sévères, à l’image de la Suède, qui propose une législation souple. A ma
connaissance, pas de « serveur dans les eaux internationales ». Mais votre réflexion pourrait aboutir sur
d’autres standards : un bateau-serveur, un web-avion, etc...
Si votre intérêt subsiste encore, je ne peux quevous encourager à vous tourner vers des spécialistes du droit informatique.
Merci pour la remarque et la question, meilleures salutations,
Malheureusement, il n’existe pas de traduction française pour le moment. Cependant, une version sous-titrée a entretemps été réalisée. Elle est disponible ici : http://www.youtube.com/watch?v=qZ5sDr7-Q4c Meilleures salutations,