Comme je reconnais les injustices qui vous ont été faites, je ne puis nier votre souffrance, souffrance à laquelle je suis entièrement sensible.
Pour votre malheur, vous ne savez pas discerner l’ennemi résolu du passant un peu jovial que vous agressez par manque de recul ; vous ne savez d’ailleurs même pas reconnaître des personnes qui, dans un passé pas si lointains, ont été à vos côtés.
Je vous ai posé une question, vous m’avez répondu par des diffamations. Triste renouement mais que je prévoyais déjà.
C’est pour tout cela que je vous pardonne, car vous ne savez pas ce que vous faites. Et je vous jure que c’est un rare privilège que je vous accorde là. En général, je fais payer cher les insolences.
Je vous ai demandé en gros si vous vous souveniez du combat que j’avais mené pour vous et pour que vous puissiez exister tranquillement sur Avox.
Vous en avez pas souvenance, d’accord. No harm.
Après, vous passez à quoi ? Vous vous trompez de messages, vous me les attribuez et vous me jugez alors que manifestement, me concernant, vous ne savez rien sur moi.
Et savez-vous pourquoi vous ne savez rien sur moi ? Parce que tout simplement, je ne viens pas "régulièrement" sur vos articles. En fait, je ne viens presque jamais sous vos fils, contrairement à ce que vous prétendez.
Et en plus, si vous aviez fait une toute petite fouille comme vous les aimez, mais sérieuse, vous auriez vu que je m’adressais avec beaucoup de vigueur contre les propagateurs incultes et les admirateurs perfides des thèses de Garaudy et des saloperies négationnistes sur ce site.
J’avais à de très nombreuses reprises exprimé mon dégoût face au lynchage systématique dont vous étiez l’objet, aux rumeurs sordides que l’on faisait courir sur vous.
Que vous n’en ayez aucun souvenir ne m’incommode nullement ; mais que vous persistiez à m’attribuer des propos autres que les miens ou déformés, tout en me faisant des procès d’intention, je trouve cela tout simplement déplorable.