Franchement, je pensais délirer à la vue des p’tits soldats du peuple venus en p’tits milliers, seriner toutes celles et ceux qui doutent de l’affection paternelle de notre populiste vénézuélien.
C’est pas un héros de telenovela et la moitié des votants de son pays s’en sont bien rendus compte.
Je viens d’un pays qui a appliqué la « révolution agraire », mixé socialisme, nationalisme, panarabisme et panislamisme, le tout dans le fion du citoyen, transformé en bénitier idéologique sur laquelle on pouvait déverser les « meilleures » idéologies « populaires » (tiers-mondistes-émergeants-en-voie-de-développement-sud-sud).
J’aime bien moi, les pt’ts jeunes en rasta et en kefieh. J’ai strictement rien contre ! (plus sympathiques que les jeunes cadres dynamiques, et de loin). Sauf que, si tu consommes trop de hash, tu peux facilement prendre un boucher pour un agneau. Et le pire, c’est que le dindon d’la farce, ça sera pas toi !
Et quand je vois Custerwest et Adama avoir les mêmes opinions que moi, j’en arrive à me poser de question, moi qui ai le cœur à gauche
En plus de te suspecter de mal maitriser l’arabe [dialectal algérien] (je pense à un autre post), je commence à voir en toi un petit pion cybernétique en faveur de ces criminels de barbus (sur ta photo, tu es déjà barbu d’ailleurs ...)
« Eradicateur » ? Tu crois que c’est le moment de faire des mots croisés maintenant que l’islamisme algérien s’est officiellement benladénisé ?
Oui, l’échec de la « concorde civile » en Algérie et de toute la politique de pardon presque inconditionnée rend le pays « libanisable » et plus que jamais en voie d’irakisation.
La vermine islamiste a déjà statué sur la « démocratie » : c’est du « kofr », de la mécréance qui mérite la peine de mort à tous ses suiveurs (la clique sanguinaire de la Takfir wal-Hijra a licité le sang de tout « musulman » qui ne suivrait pas ses objectifs politiques).
Si demain le FIS revenait (et il ne cherche que cela), il prendrait certainement le pouvoir. D’où l’eunuque Belhadj qui cherche à entuber tout un pays en chantant les vertus retrouvées de la voie démocratique.
« A-ssiyaasa djihaadu l-3aSr » aimaient à dire les barbus dans les mosquées d’Algérie (la politique est le djihad de notre temps).